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Etude Sedo du second trimestre 2010

Bonjour. Je ne développerai pas autant que je le souhaiterai par manque de temps aujourd'hui mais pour moi le déficit évident vient de la communication Pas de celle entre experts et pas vraiment de la publicité non plus. Je ne verrais pour l'instant pas vraiment l'intérêt d'un publicité sur un mag genre capital, ni même un truc de niche de la part de Sedo. Avant de faire de la pub il faut faire parler du secteur d'activité et ça ç_a prend du temps, beaucoup de temps. Contacts media, contact presse, un coup dans le technique, un coup dans le sensationnel ... mais surtout de la continuité ... on parle bien d'éducation, comme souvent, mais là, celle des prescripteurs Car qui sont t-ils ? Qui sont les influenceurs ? Ce sont amha ces questions qu'il faut se poser et ces "médias" (dans les divers sens du terme) qu'il faut "éduquer" et je dirais même plutôt "marteler", petit à petit, le plus souvent possible .... On en est où là au niveau de cette com et de l'influence ? Un coup on parle d'un truc sensationnel, puis un trimestre après d'une affaire de squatting !! C'est tout ! C'est trop peu ! Trop vague ! trop conflictuel .... bref, il en faut plus.
C'était pareil il y a dix ans ans au niveau du ref, à présent il n'y a pas un jour où l'on ne lise une ligne, n'entende un mot ... au sujet de Google. Pas une semaine qu'un mag spécialisé n'écrive une chronique incluant le champ sémantique du référencement, pas un mois qu'au moins une agence de ref n'annonce sur un mag spécialisé, niché.
Alors là dressons un constat, cherchons à déterminer qui sont les influenceurs et où sont les déficits ? Après cherchons à savoir peut être a qui revient le fardeau de se mettre en avant, en première ligne. SEDO oui, mais doivent t-ils être seuls ?
Aujourd'hui mon premier constat est qu'un des premiers prescripteurs potentiels : l'agence web, ne connait même pas le biz, a des apriori, est partagée .... donc oui il y a du chemin.
Après pas assez de temps pour entrer dans le débat de la qualité etc ... mais effectivement si on s'en tient à la phase d'évolution du marché, il faudra encore surement beaucoup d'euros (pour les renews) avant que les noms de qualité apparente moindre ne soient valorisés. Le seront t-ils un jour ? tout dépendra de la maturité du marché mais aussi des évolutions techniques me semble t-il !

Pour finir, je pense que "techniquement", l'influence n'est pas forcément difficile à atteindre, mais il faut avant tout bien identifier, qui, quand, pourquoi, comment. Peut être se resserrer les coudes, avoir un discours construit et pertinent, avoir des boites françaises qui souhaitent se mettre en avant et pas que dans le sensationnel ... Mais une fois solide (ça parait simple mais c'est le plus dur) un seul article dans le bon endroit peut être l'étincelle suffisante.
 
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d'accord avec tous les 6 derniers messages plus bas :-)

je pense que des événements comme les RINDD aident énormément. Je viens à l'instant de vendre 2 noms de domaine de qualité tout juste moyenne (le prix va avec :-)) à un client du Mailclub, qui a été sensibilisé par cet événement je suppose. J'avais aussi invité à cet événement les responsables d'un gros éditeur de sites dans l'énergie et le dév durable et depuis, ça les intéresse beaucoup et ils m'ont fait 2 achats.

La publication sur le 2nd marché de l'AFNIC est aussi typiquement le genre d'actions qui peut aider le marché.

Se rapprocher de l'Association française de marketing serait aussi intéressant, c'est un prescripteur important. Il y a aussi le club des noms de domaine (ou qqchose comme ça), animé par l'Afnic je crois. Ca regroupe les responsables ndd des entreprises du cac 40 et on pourrait leur parler du 2nd marché.

On peut imaginer également des articles dans la presse marketing et la presse internet. C'est pas si compliqué d'être publié (il suffit de les écrire et de les envoyer :-)), mais ça prend du temps. Et c'est le problème connu du "free rider", qui a été parait-il une des causes de la chute du communisme (!). Personne n'a envie de lancer des initiatives individuelles si ça profite à toute une communauté et non à soi-même. Du coup, on préfère se laisser porter et profiter des actions des autres.

Perso, je n'ai pas le temps et je sais bien que mon activité aura un impact quasi nul, mais je serai quand même partant pour participer à l'éducation du marché.
 
Parfois je me dis qu'il faudrait que le second marché S'éduque aussi avant tout. Il ne s'en faut pas de grand chose, mais finalement on se retrouve sur un secteur qui bien que les initiatives communes apparaissent et se dessinent de plus en plus, reste assez individualiste en tous cas culturellement. Rappelons aussi qu'on est sur un secteur dans lequel la majeure partie des intervenants ne souhaitent pas être identifiés en tous cas au moins pas en tant que personnes morales et surtout pas fiscalement. Bien que les choses changent on reste sur un secteur où la bien-pensance de certain pèse encore sur l'ensemble. Un secteur où la valeur se mesure à ??? des artifices relatifs. Un secteur qui parfois se contente trop d'approximations etc ...
Je dresse là un portrait pas glorieux et je suis conscient que je tire le trait vers le pire tout en négligeant les forces, capacités et autres aspects positifs de ce même secteur. Mais je pense que c'est indispensable de nettoyer devant sa porte avant de pouvoir commencer à faire tout autre chose.
Tout semble simple à envisager, réparer, mettre en place, mais là le secteur a surement au moins une épine dans le pied. Il faut savoir où avant que le mal ne s'infecte et ne gangrène le membre. Ça s'est vu aussi !!
Je pense que sur le forum toutes les capacités sont réunies, la plupart des problèmes et des forces sont identifiés dans les divers threads ; et les diverses personnalités, modes de pensées, aussi valables les uns que les autres, font à mon sens, que nous allons dans le bon chemin. Mais plusieurs threads montrent bien aussi qu'on ne peut pas vraiment encore s'envisager comme un ensemble. Ce ne sont pas nos différences qui en sont la cause, celles-ci sont certainement ce qui nous enrichie le plus les uns et les autres. Mais en tous cas je reste persuadé que nous ferions une erreur de justifier la lenteur des avancées en ne pointant que sedo en l'occurrence. Il y a du boulot, il y a de l'espoir et il y a clairement du business. Sinon, en ce qui concerne la communication, c'est clair que ce n'est pas évident de se donner à fond dans un sens si on sait pertinament, que par la simple observation d'autres pratiques les arguments pourraient être déjoués en deux temps trois mouvement. Mais la comm ne doit pas être prise à la légère car on peu vite s'y perdre en terme d'énergie et de motivation. elle est une science et une stratégie et doit être considéré à sa juste valeur. Elle est aussi une arme et il faut suffisamment l'aiguiser avant de l'utiliser car elle peut aussi se retourner contre nous. A mon sens c'est au marché de communiquer et à certaines structures de plus ou moins porter la démarche en tous cas dans ce qu'elle a de visible. Mais bon quelques mots ne suffiront pas à élaborer une stratégie il faut du temps mais surtout de l'ambition.
 
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Bonjour
Pour ma part je suis sans doute ce que vous appelez un 'end-user', et suis conscient je pense de l'importance d'un bon nom de domaine. Mais les noms de domaine génériques ont aussi quelques désavantages pour un projet. Ils coutent très chers, et il est difficile de sécuriser le nom en achetant plusieurs extensions. Par exemple, si j'achète "granulesdebois.com" alors "granulesdebois.fr" sera sans doute pris déjà, il faudra négocier pour l'obtenir. Ensuite, rien n'empêche qu'un concurrent n'utilise 2 ans plus tard "granulesdebois.net", ou "granulesdebois.web" quand cette extension existera. Or il n'est pas simple voir impossible de protéger un nom de domaine générique par une marque, sauf pour les très grosses compagnies (ex: orange,free). De plus il est difficile de capitaliser sur un générique.
Un nom de marque fort (ex: granuleo.com), protégé avec l'achat de la marque "granuleo", et ensuite en créant des pages du type granuleo.com/granulesdebois peut être une alternative intéressante.
J'achète régulièrement des noms génériques pour mes projets, car je n'ai pas de buget communication et le seo est vital pour moi, et l'avantage d'un générique est en ce moment incontestable je pense. Mais pour de grosses sociétés (avec de gros bugdets), je me demande s'ils n'ont pas plutôt intérêt à capitaliser sur une marque forte plutôt que sur du générique, ce qui expliquerait l'atonie du marché pour les domaineurs.
Fred
mes sites: Conjugaison.info - www.c.la
 
Bonjour
Pour ma part je suis sans doute ce que vous appelez un 'end-user', et suis conscient je pense de l'importance d'un bon nom de domaine. Mais les noms de domaine génériques ont aussi quelques désavantages pour un projet. Ils coutent très chers, et il est difficile de sécuriser le nom en achetant plusieurs extensions. Par exemple, si j'achète "granulesdebois.com" alors "granulesdebois.fr" sera sans doute pris déjà, il faudra négocier pour l'obtenir. Ensuite, rien n'empêche qu'un concurrent n'utilise 2 ans plus tard "granulesdebois.net", ou "granulesdebois.web" quand cette extension existera. Or il n'est pas simple voir impossible de protéger un nom de domaine générique par une marque, sauf pour les très grosses compagnies (ex: orange,free). De plus il est difficile de capitaliser sur un générique.
Un nom de marque fort (ex: granuleo.com), protégé avec l'achat de la marque "granuleo", et ensuite en créant des pages du type granuleo.com/granulesdebois peut être une alternative intéressante.
J'achète régulièrement des noms génériques pour mes projets, car je n'ai pas de buget communication et le seo est vital pour moi, et l'avantage d'un générique est en ce moment incontestable je pense. Mais pour de grosses sociétés (avec de gros bugdets), je me demande s'ils n'ont pas plutôt intérêt à capitaliser sur une marque forte plutôt que sur du générique, ce qui expliquerait l'atonie du marché pour les domaineurs.
Fred
mes sites: Conjugaison.info - www.c.la

Free n'ont pas le .com, mais il me semble qu'ils s'en sortent plutot pas mal avec le .fr :)

edit: free.fr n'aurait certainement pas été accepté dans les "top" de sedo :D
 
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Bonjour
Pour ma part je suis sans doute ce que vous appelez un 'end-user',
je suis pas sûr. Le enduser naturel n'est pas celui qui développe un site (on le fait quasiment tous pour nos meilleurs noms, avec plus ou moins de talent), mais celui qui a déjà les produits, les équipes commerciales et la notoriété lui permettant de tirer au mieux parti du nom de domaine.
Par exemple, panneauxphotovoltaiques.com a été racheté par le plus gros éditeur de sites du secteur. Mais ça n'est pas vraiment un enduser, comme l'aurait été EDF par exemple.

Mais les noms de domaine génériques ont aussi quelques désavantages pour un projet. Ils coutent très chers, et il est difficile de sécuriser le nom en achetant plusieurs extensions. Par exemple, si j'achète "granulesdebois.com" alors "granulesdebois.fr" sera sans doute pris déjà, il faudra négocier pour l'obtenir. Ensuite, rien n'empêche qu'un concurrent n'utilise 2 ans plus tard "granulesdebois.net", ou "granulesdebois.web" quand cette extension existera. Or il n'est pas simple voir impossible de protéger un nom de domaine générique par une marque, sauf pour les très grosses compagnies (ex: orange,free). De plus il est difficile de capitaliser sur un générique.
tu sous-entend que la boîte a un site unique. Les ndd permettent au contraire d'avoir une multitude de points de captation de trafic/clients : minisites, landing page, boutique en ligne, blog, réseau social, site local (langu étrangère), etc. Et chaque type de ndd permet d'accueillir au mieux les contenus. Mais ça n'est pas nécessaire de sécuriser toutes les extensions. Il suffit d'avoir un ndd qui convienne bien pour chaque usage.
Un nom de marque fort (ex: granuleo.com), protégé avec l'achat de la marque "granuleo", et ensuite en créant des pages du type granuleo.com/granulesdebois peut être une alternative intéressante.
tout à fait, ça fait aussi partie du domaining (noms brandable). Mais présenter ma marque sur granuleo.com ne m'empêche pas d'envoyer les visiteurs adwords vers une landing page granulesdebois.net et de rediriger mes visiteurs non français vers woodpellets.net.
 
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Merci domaine1, je lis souvent tes commentaires détaillées et très intéressant sur le site forumndd ou tes articles sur mailclub et ça me fait plaisir d'avoir une réponse de ta part.

end-user : je lis assez régulièrement les messages du forum et j'avais compris que vous opposiez les "end-users", ceux qui achètent les noms de domaine pour construire ou faire construire un site web, aux "domainers", ceux qui les achètent dans l'optique de les revendre ensuite, et qui souvent en possèdent des centaines voire plus.
Après rien n'empêche de faire les deux.

Avoir une multitude de sites web peut-être aussi une cause de dispersion, si je reprends l'exemple de granulesdebois.net, je ne suis pas convaincu que granueo.com/granulesdebois n'a pas autant d'intérêt ce qui fait pencher la balance c'est le seo mais même là je n'en suis pas 100% certain..

"Rien n'empêche d'envoyer les visiteurs adwords vers une landing page granulesdebois.net."
Oui mais quel intérêt ? Pourquoi ne pas les envoyer directement vers granuleo.com/granulesdebois ? Ainsi je donne de la visibilité à ma marque, et en évitant un clic favorise le taux de conversion.

Mais mon opinion n'est pas importante, celle qui compte c'est celle des directeurs marketing des grosses sociétés...

Mes sites : conjugaison.info - www.c.la - resilier.fr
 
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Sujet intéressant mais pas eu le temps de tout lire. J'ai donc tout imprimé pour y lire ce week. Et si j'y comprends quelque chose je pourrais répondre et participer (peu de chance :lol:)

Normal si on ne considère que le NDD... pas tres sexy comme noms, la seule chose qui donne de la valeur à ces noms ce sont les sites/entreprises qu'il y a derriere.

Pas près de vendre capnom :D
 
Pour revenir à ce sujet et ma tentative d'explication du desintérêt envers les noms de domaine génériques par les grosses sociétés, j'ai entendu aujourd'hui sur rmc info une publicité de 01net sur le site telecharger.com.
01net est peut-être façe au dilemme dont je parlais pour les directeurs marketing de grosses sociétés : d'un côté ils ont un site telecharger.com , avec un nom générique idéal, de l'autre un nom de marque "01net". Lequel mettre en avant ?
Au niveau du spot publicitaire, la communication est faite sur "telecharger.com, un service de 01net".
Au niveau du site, une redirection est effectuée :
Telecharger.com
redirige vers :
http://www.01net.com/telecharger/
Cette stratégie n'est pas la même pour une autre site de leur réseau 01men par exemple qui lui n'est pas une redirection.
Fred