L'information n'est pas toute fraiche mais je n'ai pas trouvé de trace sur le fofo.
Dans un arrêt du 17 avril 2013, la Cour d’appel de Paris confirme, sans grande surprise, la décision des juges de première instance qui ont retenu que le prestataire de services en ligne SEDO ne pouvait bénéficier du statut protecteur d’hébergeur et ce en raison du rôle actif qu’il a joué dans la mise en ligne de contenus sur son site internet
SEDO n'est pas un hébergeur mais un éditeur
Dans un arrêt du 17 avril 2013, la Cour d’appel de Paris confirme, sans grande surprise, la décision des juges de première instance qui ont retenu que le prestataire de services en ligne SEDO ne pouvait bénéficier du statut protecteur d’hébergeur et ce en raison du rôle actif qu’il a joué dans la mise en ligne de contenus sur son site internet
SEDO n'est pas un hébergeur mais un éditeur