Je ne connaissais pas ce risque ! Maintenant, ce qui me gêne le plus sur le .tv est que la plupart des bonnes choses ont déjà été réservées. L'avantage du .asia, c'est que l'on peut encore avoir d'excellents domaines au prix d'enregistrement. A priori (a confirmer), il n'y a pas de risque d'augmentation subite des prix du .asia, vu que les extensions ICANN fixent la hausse maximale possible pour les années à venir.Je n'ai pas creusé la question mais si c'est vrai le .TV c'est fini pour moi.
Je me demande si tu ne fais pas fausse route. Google est TRES important pour les domaines. C'est aujourd'hui à mon avis un des facteurs qui donne le plus valorisation aux premiums. Mais on ne parle pas de référencement naturel. Pour les requêtes concurrentielles (par exemple "actualités" dont tu parles), aucun acteur privé ne peut espérer recevoir du trafic gratuitement de manière durable. Comme leur langue est beaucoup plus concurrentielle que le français, cela fait longtemps qu'on sait aux US que le seul moyen de recevoir du trafic avec Google est de l'acheter. On y vient petit à petit en France et c'est inéluctable avec la multiplication des pages sites, blogs, pages perso, etc. Et c'est bien sûr dans l'intérêt de Google. A ce sujet je vais t'envoyer par mail un ebook de xxxx. C'est le boss de l'achat de mots-clés (pas un domaineur) et il nous dit que le facteur-clé de succès majeur de l'achat de mots-clés est le nom de domaine. Je l'ai trouvé intéressant et peut-être que toi aussi.Avec la prolifération des extensions, Google et les autres vont devoir les pondérer, parce que tu auras potentiellement autant de import.* pour reprendre le terme import. import.asia se positionnera peut-être correctement pour une requête "import asie" blabla
.TV est gameover à ce niveau : Google va très fortement vers le local et les autres suivront, or .TV est associé à la petite île où on ne parle pas français, donc actualites.tv sera toujours derrière actualites.fr pour toutes les requêtes en France. A moins bien sûr que l'ICANN ne transforme ce ccTLD en extension générique mais bon :clown(1):
Il y a deux ans, j'avais parfois plusieurs sites en même temps dans le top 100 yoovi et j'arrivais à me placer sur certains mots-clés concurrentiels (par exemple poker, plans de maisons, meilleur taux, etc.) dans Google avec n'importe quel site. Aujourd'hui, je vois des jeunes de 20/25 ans qui sont bien plus câlés que moi en référencement, mais ils ne gagnent pas tant que ça car Google favorise de plus en plus les adwords au détriment des adsense. Et dans 2 ans, ils seront dépassés par d'autres. Le référencement naturel n'a aucun avenir pour les requêtes concurrentielles, les meilleurs SEO sont déjà des pros de l'achat de trafic. Je me souviens que certains faisaient €xx,xxx par jour de cette manière, mais Google est de plus en plus sélectif sur les pages de destination, donc ça a dû compliquer la choses pour les personnes en question.
Si tu as un super domaine qui irait comme un gant à un utilisateur final, mais que celui-ci n'en a pas conscience, tu peux te substituer à lui. Par exemple, Marchex a des centaines de milliers de génériques. Par exemple, ils ont "lit enfant" en anglais. Et que font-ils avec, vu qu'Ikea, Conforama et autres acteurs du secteur ne manifestent pas d'intérêt par rapport à ce type de domaines ? Ils fabriquent et vendent des lits pour enfants ! Pareil pour Virtual Network, ce sont davantage des éditeurs de sites que des domaineurs. D'un point de vue théorique, c'est un très mauvais choix, chacun ayant intérêt à se spécialiser dans ce pour quoi il a eu un avantage compétitif. La boîte qui fait des lits bébé a déjà le personnel, le savoir-faire, les outils de production et les réseau de distribution. Tous ses frais fixes sont déjà amortis et l'acquisition du mot lit bébé (en anglais) permettra d'augmenter le CA, sans quasi d'augmentation des charges.Je ne comprends pas trop la dernière phrase :helpsmilie:
Le détenteur du domaine n'a rien de tout ça. Le plus logique serait qu'il cède son domaine à l'utilisateur final qui a le plus faible coût marginal. Sauf que si aucun des utilisateurs finaux n'est intéressé ? 1er choix : vendre à un domaineur, à environ 10 % du prix de marché. 2e choix : Devenir utilisateur final, c'est à dire fabriquer des lits bébés. Pour bien sûr, ultérieurement, se faire racheter l'activité "lits bébés" par un acteur du secteur.
Dans mon cas, j'ai quelques centaines de noms potentiellement intéressants (mais rien de comparable avec les gros acteurs francophones du secteur), je suis en train de faire des mini-sites, la prochaine étape sera l'achat de trafic et la 3e, la croissance organique. Ca sera ensuite, j'espère, beaucoup plus facile de vendre aux utilisateurs finaux. Mais ça ne sera pas pour demain :fear(1):
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