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  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion DNSaure
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DNSaure

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25 Mars 2008
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Le fondateur de Twitter le dit : les noms de domaine, c'est devenu secondaire

(par contre, c'est bizarre, il ne dit pas que Twitter aurait réussi sans nom de domaine !)

J'imagine que les commentaires vont tomber ici, en particulier sur cette phrase : "The non-perfect .com is also acceptable these days".

A vous lire !
 
merci dinopolis,
c'est intérechant, comme point de vue.
faudrait quand même en parler à delicious, qui a bien galéré avec son .us
Quand au .fm, c'est encore pire. En france, last.fm communique sur lastfm.fr
Bref, pas indispensable non d'avoir un super .com, mais plus que recommandé d'avoir un cctld ou un .com, surtout dans les pays où l'internet n'est pas aussi développé qu'en Californie ou qu'au Danemark.
Après, entre carte.com et map.fr, je préfère le second, je suis d'accord que le top générique en .com est pas le plus adapté pour lancé un business. Par contre, c'est toujours un plus de l'avoir, pas forcément en tant que marque, mais pour d'autres usages (blocage de la concurrence, campagne ponctuelle, landing page, etc.)
 
Tout dépend si au sein d'une société, on peut ou non se permettre de lancer une stratégie d'acquisition de trafic qualifié qui soit incomplète ou de ne pas profiter de la possibilité de caler des barrières à l'entrée de concurrents. S'il est toujours nécessaire de balancer le retour sur investissement espéré avec l'investissement requis pour acheter le nom générique "category killer" bien entendu, l'expérience semble montrer que rares sont les déçus parmi ceux qui ont investi ainsi.

Assez d'accord avec ça néanmoins : it's not as crucial to success on the internet as it used to be.
--> normal, atomisation du mode de distribution du contenu.

En conclusion, ou on fait bien les choses, ou pas ; question d'opportunité ?
 
Bien sûr, on n'a pas besoin d'un top domaine pour réussir.

Mais pour le branding et quand on a des ambitions planétaires ça devient difficilement contournable. Les marques et sites connus ont généralement un point commun: un nom solide :)
Il devrait en savoir quelque chose.
Quelque chose me dit qu'il n'aurait pas voulu prendre le même risque que flickr et créer son entreprise sur twittr.com ou twitt.er (extension de l'Eritree) :th_woot:
 
Rien de nouveau : à mon avis, il sortait juste de négos un peu difficiles avec un vendeur et il avait besoin de se lâcher un peu. C'est l'effet "soupape de cocotte-minute" d'un blog. Généralement, c'est ça où une dispute sans queue ni tête avec sa femme.
 
Pas bien compris cette phrase. [je suis bon public pour saisir les perches (pas celles du lac hein)]

Au début, je voulais écrire "c'est soit se défouler sur son blog, soit sur sa femme", et puis j'ai eu peur que ce soit mal interprété. Dans l'état, il eut fallut préciser "se défouler verbalement".

Bref, on écrit rarement sans raison un billet d'analyse ou de prédiction sur son blog. Généralement, ce type de billet a été inspiré par une expérience précise. Mon avis, c'est que l'auteur a eu une mauvaise expérience avec un nom de domaine en particulier et qu'il veut se convaincre que ce n'est pas si grave car bientôt, ces objets ne serviront plus à grand chose. Je ne vois en effet pas de raison apparente venant de lui de faire du lobby contre les noms de domaine, contrairement à ce que certains ont un intérêt plus ou moins direct à faire. Je n'ai pas non plus l'impression qu'il soit lui même très convaincu de ce qu'il écrit, pour preuve plusieurs points contradictoires dans ses propos. J'en déduis donc que ce billet est le fruit d'une contrariété toute personnelle et isolée. C'est humain.

Je peux me tromper, bien sûr :)

Ca n'empêche que c'est un personnage respecté et respectable, et que des milliers de lecteurs vont boire ses écrits comme du petit lait sans chercher midi à quatorze heures. Le genre de liens qu'on retrouve en pied d'e-mail de cheapskaters acharnés ^^
 
Salut,

Reconnaissez que l'on ne peut pas éluder la question sous prétexte qu'elle ne nous arrange pas.

Ca fait mal à admettre, mais j'en vois l'éventualité depuis la sortie de Chrome - sept. 2008 -, qui a été une révélation avec son champ unique d'URL/recherche, dans la logique de Google (mais aussi de Facebook) de créer une sorte de Minitel 2, un Web en iframe dans le Web ! ;)

C'est simple, les Google/FB souhaitent que les internautes restent sur leurs sites afin de leur présenter des publicités, et Google excelle dans le domaine.

Je prends donc la réaction du boss de Twitter comme une sentence prophétique d'initiés, qui se réalisera, ou pas, et si oui à quel terme ?

Maintenant laissons l'aspect domaineur de côté, si ça doit arriver on fera autre chose, mais ce serait surtout un des piliers de la liberté d'exister sur le Web qui s'effondrerait, au même titre que la Net neutralité.

Bref, on peut s'en foutre, mais ça peut aussi faire froid dans le dos...
 
On n'en est pas encore au stade où une pub TV se termine ainsi: "rendez-vous sur facebook.com/notresociete" au lieu de notresociete.com/.fr.
Ouf.
Il y a beaucoup de hype :viking:

De toute façon, rien de bien nouveau.
La majorité des professionnels (?) d'Internet traitent déjà (depuis toujours) le NDD comme un aspect secondaire, voire anecdotique.
Il y a ceux qui appréhendent tous les aspects d'Internet y compris la stratégie globale de nommage et puis il y a les autres :praising:
 
Je vois régulièrement depuis au moins ces 20 derniers mois des marques qui communiquent sur leur page facebook directement, même dans les média traditionnels.

Souvent, c'est plutôt pour une campagne ou un produit, il est vrai, que sur leurs marques ombrelles ou leur marque propre. Unilever a lancé ces derniers temps de gros projets de ce genre. Facebook permet d'obtenir les données démographiques des visiteurs mieux que tout autre outil d'analyse de traffic, et le taux de conversion (comme cliquez sur j'aime) est énorme par rapport à celui d'une newsletter/Mailing list sur un site classique en ma_marque.com.

Un bon exemple assez ancien est par exemple Bel, avec la vachequirit :
La Vache Qui Rit Facebook Statistics - Socialbakers

La page facebook a été promue par des canaux de communication classiques (presse traditionnelle) et par des régies genre ebuzzing et blogbang. La Vache qui Rit te poke | Olivier Mermet

Une autre illustration de cette tendance est la stib (métro bruxellois) qui affiche dans ses stations l'adresse de sa page facebook plutôt que son site institutionnel (qui se perd entre un stib.be et un mivb.be).

Pour le moment, les marques ne se lancent pas encore dans une version facebook de leur core business (imaginez les annonces pap intégrées dans une application facebook au lieu d'utiliser pap.fr), il s'agit plutôt de vitrines.
 
Je suis obligée de démentir mon post ci-dessus, j'ai récemment vu un contre-exemple à la TV (je ne sais plus quoi) :D

Enfin bon je suis même pas sur facebook, je suis pas forcément championne en branding/marketing :lol:
 
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Je suis obligée de démentir mon post ci-dessus, j'ai récemment vu un contre-exemple à la TV (je ne sais plus quoi) :D

Enfin bon je suis même pas sur facebook, je suis pas forcément championne en branding/marketing :lol:

J'ai également vu cette pub (ou une autre) à la télé. Mais comme toi, je ne sais plus quelle était la marque... Comme quoi, rien de tel qu'un bon NDD!

Toutefois, cette tendance m'effraie tout de même un peu...
 
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Toutefois, cette tendance m'effraie tout de même un peu...
Pas très inquiétant en soi, ce n'est je pense qu'une petite partie de leur communication qui est basée là dessus, histoire d'être dans l'air du temps ou d'avoir l'air branché (je parle, mais je ne sais même pas de qui on parle) Bientôt on aura droit à la même chose avec gg+. Les boites cherchent des "clients" là ou elles peuvent . Les hommes politiques aussi vont racoler sur les marchés, mais ce n'est que pour promouvoir leur "nom".
 
Dernière édition:
Je viens de voir sur BBC Europe, en bas d'écran qui défilent en continu, les nouvelles du jour, et à la fin de la liste, quelque chose comme : retrouvez toutes les dépêches en tant réel sur facebook.com/bbceurope , ou quelque chose comme ça.
 
L'utilisation d'adresses Facebook n'est qu'une manifestation de plus de l'atomisation du mode de distribution des contenus, au même titre qu'une appli iphone par exemple. Aussi, ne pas oublier différentes choses comme l'interdiction aux chaînes TV de renvoyer à l'antenne leurs téléspectateurs sur leur page Facebook ou Twitter et la volonté de conserver du contrôle sur sa communication via un nom de domaine "centralisateur" dont on a l'usage plutôt qu'une page fan qui peut être fermée si ça chante à Facebook. Il suffira de la médiatisation d'un seul cas emblématique pour qu'on s'en souvienne.

Sans parler des aspects référencement, branding, etc.

Encore un dernier truc, je me souviens, il y a pas si longtemps, de MySpace : j'avais des amis dans le secteur musical (production) et tous se rejoignaient sur le fait de dire qu'il fallaient absolument mettre tous les efforts de promotion sur leur page MySpace. C'était the place to be. Aujourd'hui, je peux vous dire qu'ils s'en mordent encore les doigts.

Moralité : le titre du sujet est provocateur mais non factuel. Je pense qu'on se doit d'avoir une présence sur FB, c'est certain, mais de là à recourir à Paco Rabanne et la fin du monde connu, quand même, ya encore de la marge ^^

On refait le point dans 3 ans et que celui qui a LA boule de cristal qui va bien me la prête un peu !