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Publicité mensongère ou réalité ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Oana
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Oana

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25 Avril 2008
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Un nouveau site de location de .co annonce ceci :

Increasing your turnover and sales: Google announced that they will consider .co as a generic domain extension in the future – take advantage of that.


Pub honteusement mensongère ou réalité à venir ?

Quelqu'un en sait-il plus ?
 
Bon, ce n'est pas la requete du siecle mais chien.ws se défend bien quand même:
chien - Recherche Google
Pareil sur cc et tv, de nbreux sites ont réussi à les référencer.

Par contre, niveau domaining, je souhaite bien du courage à ceux qui investissent dedans bien entendu ;o)
 
Bon, ce n'est pas la requete du siecle mais chien.ws se défend bien quand même:
chien - Recherche Google
Pareil sur cc et tv, de nbreux sites ont réussi à les référencer.

Par contre, niveau domaining, je souhaite bien du courage à ceux qui investissent dedans bien entendu ;o)

Il y un blog où le proprio explique avoir abandonné son .com assez long pour un .co le satisfaisant plus et qui explique comment mieux référencer le .co en passant par "google webmasters".

Je suppose que chien.ws a effectué le même type de manipulation...

Enfin, je suppose...
 
Mouais, enfin de là à se ruer sur le .co ou le .ws il y a un océan de non-sens emarketing à franchir, à moins de viser le marché colossal des requêtes francophones depuis les Samoa occidentales...

Pour atteindre les mêmes résultats de référencement, les efforts à déployer pour chien.com et ses alternatives cheap chien.ws/ chien.co sont sans commune mesure.

Après si certains souhaitent se mettre des boulets au pied tout seul, pourquoi pas :rasta:
 
Boarf, Tout' façon, y'a plus à se ruer...

400.000 noms vendus en quelques jours, je suppose que les "tops" sont pris...

A tort ou à raison... Peu m'importe...
 
comme je le disais dans un autre post, flipping.co rame dans google avec un grand nb de backlinks.
pour le fait que google considère le .co comme un générique, ça serait logique, mais apparemment, c'est qd même une extension qu'il met aux oubliettes. Et c'est tout à fait logique également, puisque (pour l'instant, quasiment) personne ne s'en sert pour développer
 
Il y un blog où le proprio explique avoir abandonné son .com assez long pour un .co le satisfaisant plus et qui explique comment mieux référencer le .co en passant par "google webmasters".

Je suppose que chien.ws a effectué le même type de manipulation...

Enfin, je suppose...

A ma connaissance il n'est pas possible de géolocaliser un cctld via google webmasters ... c'est réservé aux gtld. D'ailleur je trouve celà dommage ... si quelqu'un sait comment faire ca m'interresse. :)
 
400.000 noms vendus en quelques jours, je suppose que les "tops" sont pris...

Ca me fait penser aux drops massifs de .mobi 2 ans après le lancement de l'extension, ou encore des merveilleux investissements en .tel qu'on a pu connaître. De l'argent perdu, mais pas pour tout le monde.
Enfin...
 
A ma connaissance il n'est pas possible de géolocaliser un cctld via google webmasters ... c'est réservé aux gtld. D'ailleur je trouve celà dommage ... si quelqu'un sait comment faire ca m'interresse. :)
Il y a des exceptions: .tv
Puis .me
Maintenant .co

En fait, c'est un argument relativement mineur, ça veut dire simplement que pour le SEO, on peut déclarer que son .co doit être traité comme gTLD et non comme ccTLD de la Colombie.

Pour le reste, ce sont purement des arguments commerciaux, et quand on fait passer la dernière extension en date pour le successeur de .com, évidemment c'est farfelu.
Dans le même "registre": OVH Registrar: Noms de domaine en .cc - OVH

Il ne faut pas en vouloir aux registrars, ils sont là pour vendre.
Quand on investit, le minimum est de se renseigner, et de comprendre ce qu'on fait :girl_haha:

:cheers:
 
Bon, ce n'est pas la requete du siecle mais chien.ws se défend bien quand même:
chien - Recherche Google
Pareil sur cc et tv, de nbreux sites ont réussi à les référencer.

Par contre, niveau domaining, je souhaite bien du courage à ceux qui investissent dedans bien entendu ;o)

Oué...

Et quand tu tapes "aujourd'hui' dans google tu retrouves aujourd'hui.ma en 3e position...

chien : chien.ws (west samoa) en 1e position...
aujourd'hui : aujourdhui.ma (maroc) en 3e position...

Y'a des conclusions à tirer de ça ? - :sorry:
 
Y'a des conclusions à tirer de ça ? - :sorry:

1ère conclusion : quand on ne veut voir pas une réalité objective pour des raisons non objectives X ou Y (genre tld pumping) on trouvera toujours des arguments spécieux.

2ème conclusion : comme le dit justement Kendall, le nom de domaine ne fait pas tout (et heureusement), puisque derrière il y a le contenu (le plus important/ coûteux), son actualisation éventuelle, la stratégie de linking etc... Le choix du bon NDD est un paramètre important, mais il y en a tellement d'autres, qui plus est fluctuants.

Enfin, tout cela semble tellement évident, je me demande pourquoi on se fatigue... t'as déjà ton idée sur la question, visiblement pour toi acheter du .co, du .so ou du .ws c'est top, bah fonce, personne ne te retient, bon dev :)

Ce qui permet la 3ème conclusion : le trolling, c'est mal.
 
Enfin, tout cela semble tellement évident, je me demande pourquoi on se fatigue... t'as déjà ton idée sur la question, visiblement pour toi acheter du .co, du .so ou du .ws c'est top, bah fonce, personne ne te retient, bon dev :)

Je n'ai aucune idée sur la question et c'est pour ça que je vous en pose, des questions...

Si je m'adresse à vous, c'est juste pour tenter d'évoluer un peu...

Est-ce si mal ?

Pour l'instant je m'en réfère - en guise de conclusion - à un mail que m'a envoyé Sedo et à un postulat défendu, je crois , par Kate : Un ndd ne vaudra jamais que ce qu'un acheteur est prêt à mettre pour l'obtenir.

Je suppose que c'est dans cette optique - et accompagné de multiples raisons - que ijdhblog.com (ou un truc du genre) s'est vendu sur un site pour près de 2.000 euros.

Enfin, merci à la personne qui a posté le lien vers le mailclub puisqu'il a répondu à ma question !

C'est finalement tout ce que je demandais...

Même si ça change pas grand chose en terme de X ou de Y.

Cordialement.
 
Il y a des exceptions: .tv
Puis .me
Maintenant .co

En fait, c'est un argument relativement mineur, ça veut dire simplement que pour le SEO, on peut déclarer que son .co doit être traité comme gTLD et non comme ccTLD de la Colombie.

Pour le reste, ce sont purement des arguments commerciaux, et quand on fait passer la dernière extension en date pour le successeur de .com, évidemment c'est farfelu.
Dans le même "registre": OVH Registrar: Noms de domaine en .cc - OVH

Il ne faut pas en vouloir aux registrars, ils sont là pour vendre.
Quand on investit, le minimum est de se renseigner, et de comprendre ce qu'on fait :girl_haha:

:cheers:

Je ne savait pas pour les .tv et .me ...

C'est bien pour le .co mais je pense que pour l'utilisateur il est bon de pouvoir géolocaliser n'importe où et quelque soit l'extension.... j'ai un -http://en.domaine.fr que j'aimerai bien géolocaliser aux US :)

Sinon me concernant je n'investit pas un $ dans cette extension (si ca interresse quelqu'un). Je préfère le .pro ! Ok je =>
 
Et on doit en déduire quoi ?
Que le .co c'est "trop super" parce qu'il y a eu 3 achats à plus de 20k ?

Je la ressors à chaque sortie de nouvelle extension "baroque", mais visiblement ce n'est pas superflu, ça a du mal à rentrer...

De l'exubérance irrationnelle des marchés...

Petit retour en arrière... Pour clore cette série d’été spéciale crises financières et boursières, il nous semblait intéressant de revenir sur le tout premier krach boursier de l’histoire : la crise des tulipes en Hollande en 1637. Cet épisode, maintenant lointain en effet, recèle néanmoins quelques précieux indices sur les comportements parfois irrationnels des marchés ainsi que ses conséquences. Après avoir abordé les crises les plus connues du dernier siècle (1929, 1973, 1987, 1991, 1997, 1998 et 2000), nous ne voulions pas revenir à nouveau sur la récente crise des subprimes, largement décortiquée dans tous les médias. En revanche, qui se rappelle du tout premier krach boursier ?

Un engouement irrationnel. La première bulle spéculative, aussi connue sous le nom de tulipomanie, naquit au XVIIème siècle aux Pays-Bas. Importée de Constantinople, la tulipe fut introduite en Hollande à partir de 1559 et devient rapidement un succès. Le prix du bulbe augmenta de façon exponentielle pour arriver à des niveaux de 1000 florins en 1623 puis 5500 en 1637. Il faut noter que le revenu annuel moyen de l’époque n’était que de 150 florins... En février 1635 on atteignit même un record avec 6700 florins. La spéculation a été telle que par comparaison un bulbe de tulipe pouvait correspondre au prix de deux maisons ou encore 15 fois le salaire annuel d’un artisan.

La brutale chute. La noblesse commença à se rendre compte de l’irrationalité des prix. De plus, en raison de la forte demande de bulbes, ceux-ci devinrent moins rares. La chute du prix s’amorça alors. Une des spécificités de l’époque est que les tulipes étaient vendues à terme. Or les promesses de vente, signées plusieurs mois avant la floraison des tulipes, ne furent tout simplement pas honorées une fois l’effondrement des prix. Aucune autorité ne pouvait imposer aux spéculateurs d’acheter au prix promis.

Les similitudes avec les autres crises financières. Il est singulier de voir à quel point chaque crise se ressemble et se répète, en tout cas dans les grandes lignes. En effet, toutes vivent les mêmes exagérations, irrationalités, retournements et désillusions. La formule d’Alan Greenspan, président de la Fed de 1987 à 2006, « l’exubérance irrationnelle », reflète parfaitement la nature même des krachs boursiers. Les véritables responsables sont les investisseurs eux-mêmes qui quelque soit l’époque n’appréhendent pas complètement les conséquences de leur frénésie. « Je peux mesurer le mouvement des corps, mais je ne peux pas mesurer la folie des hommes » avait dit Isaac Newton, après perdu de l’argent lors de crise de la South Sea Company au XVIIIème siècle.

Source :
Spécial Crises (8) : A l'origine, une simple tulipe... | Boursorama