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La publicité des plateformes de vente

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion jerome
  • Date de début Date de début

jerome

Member
18 Mai 2008
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Je me posais cette question au sujet du business des ndd : pourquoi ne voit-on pas plus de publicités pour les plates-formes de vente dans la presse papier, notamment en France ? Celle qui peut toucher les décideurs, les end users.

Est-ce encore un phénomène franco-français dû à la mauvaise perception du métier de domainer ?
 
Dernière modification par un modérateur:
Re : rachatcredit dot be

pourquoi ne voit-on pas plus de publicités pour les plates-formes de vente dans la presse papier, notamment en France ? Celle qui peut toucher les décideurs, les end users.
Tres bonne idée Jerome !
 
Re : rachatcredit dot be

Je me pose également cette question depuis un moment.
Je pense particulièrement au magazine "stratégies" auquel je suis abonné depuis quelques années et qui est la référence en matière de pub, médias, web, marketing pour les agences et les pôles marketing, veille etc ... de toute société qui se respecte. Ce depuis près de 25 ans il me semble.
C'est un incontournable ! Ils y font tous leur veille ! De la pub dans "stratégies" serait donc à mon avis très judicieuse, surtout si en amont (le top) ou en aval, il y a moyen de bénéficier d'un article ou encore même d'un dossier, car il y a dire sur le sujet et jusqu'à présent leurs dossiers concernant le web (référencement, buzz, design, technologie, .....) tiennent vraiment la route et font surtout figure de référence et d'influence, auprès d'un public qui recherche cela : de la veille utile, intelligente, crédible ... allant dans le sens de leurs stratégies médias, marketing, web ....
Donc pour moi s'il y a bien une source de end-users potentiels à ferrer c'est bien là. Mais l'idéal n'étant évidemment pas seulement un ferrage marketing par de la pub, mais aussi une conscientisation sur le sujet, et bien que certains acteurs du marché ici présent, soient dans cette logique, je pense effectivement que cette conscientisation doit absolument passer offline. Le travail a été dur pour le référencement (je parle de ce dont je connais), le chemin a été long. Mais aujourd'hui on en parle même dans les brèves de 20minutes et une grosse majorité de décideurs en entreprise savent à peu près de qui il s'agit, en tous cas et au moins, que c'est important. Et honnêtement concernant ce sujet, ça partait de loin et je l'ai souvent dit ici, mais il y a quelques années la pratique était tout aussi criminalisée par ses détracteurs que ne l'est le domaining en comparaison au squatting etc .... et pourtant la communication a payé.

Je pense qu'un dossier dans "stratégies" sur la thématique est très jouable, ça fait un moment que je pense à leur en proposer un. L'enjeu est de mise pour les domaineurs, les plateformes mais également les end-users.
Maintenant moi, petit gérant d'une petite agence web ... j'aurais beau trouver les mots qu'il faut (et encore), je ne suis pas assez puissant pour lobbyiser .... j'en reviens donc à une idée qu'on avait abordé il y a un moment sur dnf et qui fera certainement un jour figure d'un autre sujet : la création d'une asso, d'un syndicat .... (why not) ou alors on se met derrière les gros comme VN chez les domaineurs, SEDO pour les plateformes et on attend qu'ils enclenchent quelque chose et on croise les doigts pour être concerné par leurs dire et on espère des répercutions pour nos petites structures (PS : rien de perso là dedans. Je ne cite ces deux structures qu'à titre d'exemple et en ce qui les concerne je crois qu'il y a au moins une personne, présente ici, connaissant bien le marché et pouvant largement contribuer encore plus à une avancé majeure du second marché francophone.)

Enfin bref pour conclure : Du offline oui oui et re_oui
 
Dernière édition:
Re : rachatcredit dot be

Il y a des brokers qui annoncent dans les grands quotidiens comme WSJ ou les revues spécialisées... :)
 
Re : rachatcredit dot be

Oui c'est monnaie courante au USA. En Allemagne je ne sais pas, quelqu'un sait ? Mais en France !!!!! c'est l'âge de néanderthal ! C'est par signaux de fumée qu'on fait notre pub.
 
De bonnes remarques, merci aux allumeurs de pétards.

Mon avis sur le premier point : le problème de la presse papier pour un acteur qui n'a jamais connu autre chose que le online, c'est le suivi des taux de conversion. Il est habitué à tout tracker, et à avoir des analyses concrètes pour tout. Le papier, ça lui fait peur si c'est sous forme de pub car c'est le risque d'une bouteille à la mer. Sans compter qu'il faut répéter l'effort pour marteler les messages. Si c'est sous forme de contribution, ça dérange moins car c'est une pub gratuite. Même en one shot, ça reste bon à prendre pour une boîte qui pense encore être une start-up.

Sedo fait bien de la pub offline, mais sur des marchés high potential et vache à lait seulement. Et dans des magazines spécialisés. C'est peut-être dommage de s'en limiter à ça.

Après, il y a clairement des questions personnelles qui rentrent en ligne de compte à l'intérieur même des entreprises : j'avoue qu'on m'a proposé des contributions dans la presse écrite quand j'étais chez Sedo, mais soit c'était pour parler cybersquatting et là, malgré le travail pour lequel j'étais payé et une réelle identification au marché, je n'étais pas trop chaud pour payer de ma personne (il y a des choses qui restent sur les CV, on ne peut pas jouer les mercenaires à tous les coups); soit c'était simplement le truc qui serait rentré dans la 25ème heure de la journée, et encore. Quant aux agences de com, il n'y a qu'à voir les tarifs et le calcul est vite fait : là encore, à réserver aux marchés high potentiel ou cash cow. C'est injuste me direz-vous, mais c'est la dure réalité des affaires.

Alors après, on pourra disserter des heures sur la question de savoir s'il faut se liguer et si oui, qui doit fédérer et quelle est la stratégie à adopter. Beaucoup se sont cassés les dents en pensant y arriver à la seule force de leur bonne volonté. Regardez l'ICA, ça avait une certaine gueule au début sur le papier. Et puis il a fallu commencer à travailler sur des dossiers aux airs de feuille blanche, à assouvir les égos des uns et des autres, à régler les histoires de famille etc. Jusqu'au moment ou tout le monde se demande "qu'est-ce que je fais là à me casser le BIP pour les beaux yeux de la communauté ?"

Bref, il faut des gens prêts à donner de leur personne aujourd'hui, demain et dans 5 ans. Et des gens prêts à les relayer quand ils ne seront plus prêts à le faire. Et des gens prêts à accepter le fait de n'en tirer aucun autre bénéfice que l'épanouissement et la gloire - dans le meilleur des cas - Ce n'est pas comme une asso de club de foot ou même si ton équipe ne gagne pas, l'essentiel est la buvette et de voir grandir les jeunes.
 
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