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Le domaining français

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Doumé
  • Date de début Date de début

Quels sont les freins au domaining français ?

  • Manque de concurrence entre place de marché

    Votes: 6 27,3%
  • Mauvaise image du domaining

    Votes: 10 45,5%
  • Le manque d'ouverture du .fr

    Votes: 12 54,5%
  • La méconnaissance du domaining

    Votes: 14 63,6%
  • Les prix au second marché

    Votes: 2 9,1%

  • Total des votants
    22
  • Sondage fermé .
Mauvaise image du domaining: un peu. Mais ça n'empêche pas de prendre des positions. Si on devait se soucier de ce que pensent les autres ont ne ferait plus rien dans la vie.
Manque de concurrence entre place de marché: à mon avis non. On peut vendre sans intermédiaire. Il n'y avait quasi rien avant 2000 mais les pépites étaient enregistrées depuis longtemps.
Le manque d'ouverture du .fr. A mon avis c'est moins vrai que par le passé. Mais dommage que des restrictions subsistent. Le marché du .fr va donc rester franco-français pour l'instant donc marché limité. Mais il reste les autres extensions dont .com bien sûr.
La méconnaissance du domaining: probablement le noeud du problème. Il suffit de lire les forums de webmasters pour s'en rendre compte. L'ignorance combinée à la mauvaise image conduit à une forme d'occultation de la part de la communauté Internet qui pourtant devrait avoir compris l'enjeu des NDDs depuis longtemps ^^
Peut-être que moins de concurrence est une consolation :D
 
"Le manque d'ouverture du .fr " également.

Les regles de l'afnic sont très hypocrites, et ils sont franchement mauvais...
 
Mauvaise image du domaining: un peu. Mais ça n'empêche pas de prendre des positions. Si on devait se soucier de ce que pensent les autres ont ne ferait plus rien dans la vie.D

Oui Kate cela ne nous empêche pas d'acheter ou de vendre, mais c'est quand même dommage car cette mauvaise image revient constament

Manque de concurrence entre place de marché: à mon avis non. On peut vendre sans intermédiaire. Il n'y avait quasi rien avant 2000 mais les pépites étaient enregistrées depuis longtemps.D

j'aurais eu tendance à penser que plus de site sur la vente de ndd second marché serait un plus pour les domaineurs français.



Le manque d'ouverture du .fr. A mon avis c'est moins vrai que par le passé. Mais dommage que des restrictions subsistent. Le marché du .fr va donc rester franco-français pour l'instant donc marché limité. Mais il reste les autres extensions dont .com bien sûr.D

Je ne pense pas que le .fr va rester 100% français, je le vois bien dans un premier temps s'ouvrir au 27 de l'union U.




[Peut-être que moins de concurrence est une consolation :D

Ce n'est pas aussi moins d'acheteur ?
 
Quels sont les freins au domaining français ?

> peut etre une différence culturelle aussi:
Corriger moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que les français pratiquent moins le type-in que d'autres par exemple. Donc qui dirait moins de type-in dirait peut etre plus de travail de seo, de commmunication, ou d'originalité, etc... et donc une moindre importance du ndd générique par exemple (ds les us et coutumes). De l'autre côté, au niveau domaineur, ça ns ferait moins de revenus aussi évidemment, donc moins d'attrait. Bref ça change pas mal la donne. (Au passage, j'aimerais bien qu'on me confirme ou qu'on m'infirme ceci s'il vous plait: le type-in en France est-il moins présent qu'ailleurs?)

En plus, nous avons le cas du tiret que d'autres pays aiment moins; serait-ce parce que les 'mondomaine.com' étaient pris que les 'mon-domaine' ont émergé ? Visiblement ça ne pose pas trop de soucis au marché, sinon l'éternelle question du tiret ne se poserait jamais.

Ca m'amène aussi au 3eme point: je suis quasi sûr que les acheteurs nous prennent aussi pour des voleurs, des rapaces, des parasites: quoi tu vends $5000 ce que tu as acheté il y a x années à $5? Rapace, je préfere encore prendre le tiret ou le net à $5 !!
Et cette différence culturelle est à mon avis un gros frein à l'acte d'achat (qui aime acheter à quelqu'un qu'on estime etre un voleur, ou qd on a l'impression de se faire 'racketter'?)

Je ne sais pas mais j'ai l'impression que le phénomène culturel joue bcp ds nos contrées.
Sinon, je suis d'accord avec Kate (encore une fois) sur la mauvaise image+méconnaissance, et c'est là aussi je pense une forme de différence culturelle.

A vous!
 
salut L@@k,

Pour le type-in français je crois que tu as raison, mise à part les forums de domaineur je n'en entend jamais parlé ailleur, donc moins d'intérêt sur les génériques aussi. Il y a aussi l'aspect marque qui est très fortement ancrée chez les développeurs et titulaires de site web, Ils chercherons à réserver un ndd qui soit unique, protégeable.

L'aspect rapace par contre on le retrouve facilement sur le net français. c'est cette image qu'il faudrait faire disparaître en faisant comprendre que le domaineur prend un risque énorme lorsqu'il achète X ndd, ce risque pris à un aussi un PRIX à la revente.
 
Le pbm est que si ns avons ainsi définit les majeurs pbm du domaining français, on a aussi compris que lutter contre les us et coutumes, les habitudes et les préjugés est un travail de longue haleine... qui a dit une mission impossible?

D'où mon cri de guerre: Webmainer powaa!
 
Look: je pense comme toi qu'il y a des différences culturelles qui entrent en jeu :)
Tu as bien résumé certains points essentiels.

N'oublions pas que le marché francophone est de toute façon plus limité.
La francophonie compte quelques pays développés en Europe (France, Belgique, Luxembourg, Suisse) + Canada et une partie de l'Afrique où le pouvoir d'achat n'est pas élevé.
Pour cela je conseille de diversifier, en clair ne pas miser que sur les noms francophones.
Le domaining francophone ne peut que se développer mais il ne faut pas espérer arriver à un niveau de valorisation équivalent au marché US.
 
Absolument, la diversification est la clé.
Après le pbm est différent: maitrise des langues et ou ext., des subtilités, des 'différences culturelles', et surtout la concurrence, parce que qd on rencontre les taïwanais, les coréens, les amerlock et autres russes, ça bataille sévère ! :goodluck:
 
Au risque de passer pour un optimiste, pourquoi ne pas contrebalancer avec un sondage : "Quels sont les accélérateurs potentiels du domaining français ?" :scooter:

"An optimist sees an opportunity in every calamity; a pessimist sees a calamity in every opportunity." - Sir Winston Churchill
 
J'en connais un qui a envie de se voir nominer ,o)

Même pas, je me sentirais d'autant plus motivé si on me lançait des tomates :)

Mais quand je repense à l'état du marché francophone il y a 5 ans, je me dis qu'il a quand même bien progressé. Et je ne pense pas que certains y soient pour plus que d'autres dans la mesure où concrètement - reconnaissons-le - il n'y a pas eu de révolution. C'est un processus continuel et, de mon point de vue, aussi naturel que sain.

Ce qui me laisse donc penser que dans 5 ans, vous autres petits soldats de l'éducation du marché aurez bien mérité un auto-lancé de fleurs si jamais personne n'a eu la décence de vous remercier avant :flowers:
 
Au Québec et en Acadie le domaining est totalement méconnu. Je suis prêt à parier que cette activité est connue par 0,001% de la population canadienne francophone, et qu'il y a un domaineur pour 300 000 Canadiens de langue maternelle française. Au Canada anglais, c'est différent. Je crois qu'il y a pas mal de domaineurs en Ontario et en Colombie-Britannique.
 
c'est cette image qu'il faudrait faire disparaître en faisant comprendre que le domaineur prend un risque énorme lorsqu'il achète X ndd, ce risque pris à un aussi un PRIX à la revente.
Cela me paraît un peu illusoire: l'acheteur n'est pas là pour rémunérer ton risque, dont il se contrefout. La légitimité de l'acheteur c'est de payer une certaine somme pour un ndd dont il se promet une valeur au moins équivalente.
Le risque est tien et unqiuement tien...

Ca change la donne