Bonjour,
En fin d’année dernière, je racontais à certains ici que la filiale française d’une grosse boite du secteur de l’industrie musicale souhaitait récupérer un de mes LLL.fr en utilisant la manière forte.
Pour rappel, j’avais reçu, après avoir répondu à un premier mail du boss France de la boite, un joli courrier envoyé par un cabinet d’avocats parisien. C’était le premier du genre pour moi, donc j’étais plutôt surpris et surtout un peu abattu : était-ce la peine de se battre contre cette multinationale alors que je ne suis qu’un simple petit étudiant avec peu de moyens ?
En investissant sur des LLL.fr, je n’avais jamais trop réfléchi à la question, même si j’étais conscient des risques. Pour moi, ces noms étaient (sont) sous-évalués, et au pire, en cas de procédure, je n’avais qu’à lâcher le nom, les pertes étant minimes.
Avec les conseils de plusieurs membres, j’ai compris qu’il fallait mettre quelques moyens pour défendre le nom et surtout protéger mon portefeuille. Avec le soutien de DNSaure, je me suis donc engagé dans la bataille contre la boite, non pas avec l’idée de leur vendre le nom (ça ne serait que du bonus), mais surtout de ne pas le perdre.
Après un échange de courriers recommandés, la menace semble être passée puisque je n’ai pas de nouvelles des avocats de l’entreprise en question depuis plusieurs mois.
Certes, cette stratégie est couteuse en temps et en argent ; j’y ai réfléchis à deux fois car comme tous ici, mon temps est précieux et le préjudice aurait été très faible. Mais il faut vraiment comprendre qu’en défendant un nom, on défend avant tout notre portefeuille.
En conclusion, cette affaire m’a permis de bien comprendre l’importance d’être informé sur les décisions juridiques, et surtout qu’il ne faut pas se laisser faire, même pour des noms peu valorisés, surtout quand on n’a rien à se reprocher
Enfin, pour les nouveaux domaineurs, faites vraiment très attention, les méthodes employées par l’entreprise pour que je commette une erreur étaient vraiment très vicieuses, et sans éclairage d’un spécialiste, il y a bien longtemps que j’aurais perdu le nom !
En fin d’année dernière, je racontais à certains ici que la filiale française d’une grosse boite du secteur de l’industrie musicale souhaitait récupérer un de mes LLL.fr en utilisant la manière forte.
Pour rappel, j’avais reçu, après avoir répondu à un premier mail du boss France de la boite, un joli courrier envoyé par un cabinet d’avocats parisien. C’était le premier du genre pour moi, donc j’étais plutôt surpris et surtout un peu abattu : était-ce la peine de se battre contre cette multinationale alors que je ne suis qu’un simple petit étudiant avec peu de moyens ?
En investissant sur des LLL.fr, je n’avais jamais trop réfléchi à la question, même si j’étais conscient des risques. Pour moi, ces noms étaient (sont) sous-évalués, et au pire, en cas de procédure, je n’avais qu’à lâcher le nom, les pertes étant minimes.
Avec les conseils de plusieurs membres, j’ai compris qu’il fallait mettre quelques moyens pour défendre le nom et surtout protéger mon portefeuille. Avec le soutien de DNSaure, je me suis donc engagé dans la bataille contre la boite, non pas avec l’idée de leur vendre le nom (ça ne serait que du bonus), mais surtout de ne pas le perdre.
Après un échange de courriers recommandés, la menace semble être passée puisque je n’ai pas de nouvelles des avocats de l’entreprise en question depuis plusieurs mois.
Certes, cette stratégie est couteuse en temps et en argent ; j’y ai réfléchis à deux fois car comme tous ici, mon temps est précieux et le préjudice aurait été très faible. Mais il faut vraiment comprendre qu’en défendant un nom, on défend avant tout notre portefeuille.
En conclusion, cette affaire m’a permis de bien comprendre l’importance d’être informé sur les décisions juridiques, et surtout qu’il ne faut pas se laisser faire, même pour des noms peu valorisés, surtout quand on n’a rien à se reprocher
Enfin, pour les nouveaux domaineurs, faites vraiment très attention, les méthodes employées par l’entreprise pour que je commette une erreur étaient vraiment très vicieuses, et sans éclairage d’un spécialiste, il y a bien longtemps que j’aurais perdu le nom !
