Je suis un peu moins enthousiasme sur le contenu de ce billet que la moyenne des participants du forum.
En effet, si on sort du secteur strictement lié au domaining, on pourrait comprendre l'article dans ce sens (dites moi si je me trompe):
Les plus grandes entreprises ne sont pas celles qui ont les plus grands bâtiments, ou bien le plus de produits vendus, ou encore la plus grosse facture d'électricité, voir même le plus gros chiffre d'affaire, mais plutôt celles qui comprennent ce qu'elles font et maitrisent les enjeux du marché dans lequel elles opèrent.
C'est vrai que c'est nécessaire, mais ce n'est pas ce qui défini une grosse entreprise. Il ne s'agit que d'une stratégie pour augmenter le retour sur investissement et générer de la valeur.
Les gros domaineurs pour moi sont ceux qui génèrent de gros revenus, quelle que soir leur stratégie.
Des entreprises comme LVMH ou Leclerc se concentrent sur des segments de marché différents, elles sont cependant de grosses entreprise en terme de revenues générés.
Pour le domaining, les marchés de niche, ou les premium de luxe sont un marché. Pour ceux qui travaillent sur du volume, il est je pense aussi possible de vendre de très nombreux domaines par mois avec une très petite marge, et attiendre le même revenu mensuel. Il faut automatiser au maximum, et baisser les couts fixes. Par exemple, en .... n'achetant pas les domaines qu'on revend! Faire du snap par exemple
En fait, Capnom, c'est le supermarché du domaining. Kate, c'est l'industie du luxe. Chacun son segment.
Et pour moi, les 2 peuvent être de gros domaineurs, en tout cas de gros acteurs du marché générant des revebus conséquents.
:tee:
La dimension business est esentielle si on veux définir le domaining comme un secteur industriel, et non pas seulement comme une passion ou un hobby dans lesquels uniquement l'expertise du collectionneur est mise en valeur. Encore une fois, Leclerc, ce n'est pas de la gastronomie.