En lisant et relisant les écrits qu'on trouve à droite à gauche - essentiellement dans la sphère anglophone - je m'aperçois que tout semble plus ou moins avoir été dit (sauf à vouloir traiter de l'actualité des noms de domaine bien sûr), mais qu'il reste par ci par là des angles d'approche plus ou moins inexplorés.
		
		
	 
d'accord et pas d'accord
d'accord que c'est difficile de trouver de nouveaux sujets. Pour les idn, l'évaluation des domaines, le second marché, tu nous a fait des p... de billets et y a pas grand-chose à rajouter.
Par contre, pour les blogs de la sphère anglo-saxonne qui seraient aussi intéressants, j'en vois 0. Je les ai pourtant assez largement recensés et j'ai vraiment rien vu d'aussi synthétique, distrayant, bien écrit et surtout pertinent que le tien.
Notre culture française nous donne un avantage sur les anglo-saxons qui est la structuration de nos écrits. On pose une question et on y traite les arguments pour finalement apporter une réponse.
Les anglo-saxons ont grosso grosso comme objectif de ne rien démontrer, mais de convaincre. L'idée est véhiculée de toutes les manières possibles, l'auteur essayant d'être persuasif, peu importe si le raisonnement est fondé ou non. Ca fait au final des évangélisateurs, mais pas des experts.
Tout ça pour dire qu'il ne faut pas arrêter ton blog, car c'est le seul qui tienne la route au monde (et dans tout l'univers). Je veux bien y poster un billet, je trouve que c'est une bonne idée de l'ouvrir aux collègues. Mais ça ne serait pas mieux sous forme d'entretiens ? Ca te permet de poser des questions sur les thèmes qui t'intéressent et où l'avis des autres t'intéressent également, et ça ouvre d'énormes possibilités. 
Et surtout ça permet un peu de faire un peu mieux connaître les domaineurs au grand public, mais je trouve qu'il y un tas de personnes épatantes dans ce secteur parmi les francophones. Je saurais pas trop l'expliquer, surtout que j'ai passé une bonne partie de ma vie hors de France et que j'adore ça. J'ai eu l'occasion de rencontrer les domaineurs espagnols, mais on a absolument pas le même profil, pas vraiment de passionnés là-bas, plutôt des business people plus ou moins motivés et brillants (plutôt moins que plus). Quand aux Américains, que j'ai toujours bien aimé pour le biz, on dirait qu'ils ont choisi les pires du pays pour former le monde du domaining. Et pour les Allemands, je sais pas trop mais tu vas nous le dire ?