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5 façons de faire encore de l'argent avec les noms de domaine

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tomsa
  • Date de début Date de début

tomsa

Administrator
12 Mars 2008
3.602
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Voici la traduction d'un article de domainnamewire sur les possibilités de monétisation pour les late-comers (on est pas mal dans ce cas ;)).
Il traite du marché US mais certaines choses restent adaptables / intéressantes pour le marché francophone.
Merci à Kate pour la relecture et le coup de pouce en traduction :thumbup:

Vous arrivez sur le tard ? Vous pouvez encore faire de l'argent.

J'ai recemment lu sur un forum le commentaire d'une personne décue par la décision de Yahoo de supprimer l'arbitrage. Cette personne se plaignait je cite "Comment dois-je m'y prendre pour gagner de l'argent avec les noms de domaine maintenant ? Je suis arrivé tard sur le marché et tous les bons domaines sont partis. C'est pas juste !" (sérieusement on dirait un enfant de 5 ans).

A vrai dire, vous pouvez toujours gagner de l'argent avec les noms de domaine. Mais je dois vous prévenir, il faudra s'investir en terme de travail ou de capital.

1. Acheter des domaines existants et augmenter leur valeur (ou les revendre rapidement) - Il faut de l'argent pour gagner de l'argent, mais vous pouvez commencer petit. Le second marché des noms de domaine est particulièrement inefficace, ce qui signifie que vous pouvez acheter des domaines à un endroit et les vendre rapidement à un autre endroit. Vous pouvez aussi acheter des domaines sous-utilisés, les développer, et regarder l'argent rentrer.

2. Proposer des services aux propriétaires de noms de domaine
- Quand j'ai commencé cette activité à la fin des années 90 j'ai enregistré une poignée de domaines. Mais ils coutaient à l'époque 70$, et je ne pouvais pas aller très loin avec mon budget d'étudiant. Je me suis alors dit que si des gens gagnaient de l'argent avec les noms de domaine, ne pourrais-je pas aussi en gagner en les aidant ? J'ai mis à contribution mon diplôme de finance pour travailler à l'estimation de noms de domaine et de sites web. Pensez aux services que vous pouvez fournir aux domaineurs pour augmenter leur revenus. Etes-vous un expert en référencement ? Peut-être en optimisation de mots-clés ? Pouvez-vous programmer un logiciel pour aider les domaineurs à effectuer leur opérations courantes ?

3. Profiter des possibilités du "predictive domaining" - Un des meilleurs blogs récents est PredictiveDomaining.com. Il parle des façons de déterminer les sujets et mots-clés de demain. Voici un exemple : le terme de "blog" n'existait pas pendant la ruée vers l'or de 1994. Il y a beaucoup d'autres termes qui ne sont pas "tendance" (ou même connus) aujourd'hui mais qui le seront demain. Je me considère comme un bon domaineur d'anticipation, mais ce blog m'apprend toujours de nouvelles choses.

4. Trouver des propriétaires "en détresse"
- J'ai un ami qui achète les biens immobiliers de propriétaires en détresse, comme ceux en instance de divorce ou qui rencontrent des problèmes financiers. Ils ont besoin d'argent sur le moment et sont prêts à vendre en dessous du prix du marché. Vous pouvez faire la même chose avec les noms de domaine. Croyez-moi il y a un paquet de propriétaires de domaines en détresse en ce moment.

5. Rester dans la course - Les revenus de vos domaines en parking sont en baisse cette année. C'est peut-être juste un creux. Quel regard porterons-nous dans dix ans sur les domaines vendus actuellement des millions alors qu'ils se vendront pour des dizaines de millions ? Il y a encore de formidables possibilités de spéculation pour ceux qui sont capables de conserver leurs domaines sur le long terme.
 
Bien joué,
c'est intéressant, même si c'est assez basique.
J'aime bien le blog de prospective domaining. L'idée est fondamentale, mais le blog est pour l'instant décevant.


ps. J'ai une section "conseils" sur domainpredator qui a un peu vieilli mais qui reprend tous ceux-là et qui est amha bien plus complète et détaillée. Malheureusement dans un anglais pas toujours très clair (c'est encore pire quand je parle :-). Pareil sur domaine1.fr où j'ai malheureusement eu la flemme de traduire toute la partie anglaise. Mais je trouve globalement que les ressources anglo-saxonnes en domaining sont très pauvres et manquent de perspective et d'ouverture sur le monde.
 
Bien joué,
c'est intéressant, même si c'est assez basique.

Merci David,
c'est assez basique mais c'est l'occasion de lancer la discussion et d'approfondir le sujet justement ;)

J'aime bien le blog de prospective domaining. L'idée est fondamentale, mais le blog est pour l'instant décevant.

C'est vrai que les derniers billets ne sont pas terribles et un peu HS.
Il y a par contre des trucs plus intéressants sur le predictive domaining dans les archives du blog.

ps. J'ai une section "conseils" sur domainpredator qui a un peu vieilli mais qui reprend tous ceux-là et qui est amha bien plus complète et détaillée.

Oui c'est clair que c'est plus détaillé, on pourrait aborder certains points ici d'ailleurs si tu es d'accord :)

++
 
Oui c'est clair que c'est plus détaillé, on pourrait aborder certains points ici d'ailleurs si tu es d'accord :)

++

ok, avec plaisir. Voilà juste quelques compléments par rapport à ce qui était dit. Je ne sais pas si apporte quelquechose, mais bon, j'essaye !

Vous arrivez sur le tard ? Vous pouvez encore faire de l'argent.

J'ai une idée qui ira à contre-courant de ce que pensent les domaineurs. Oui, on peut encore faire de l'argent, mais non, on n'arrive pas sur le tard. Mon sentiment est que le meilleur moment pour investir dans les domaines n'était pas en 1995 ni en 2001, mais maintenant. Bien sûr un investissement à cette époque aura été au final une réussite. Mais personne de ceux qui ont investi si tôt ne pouvait savoir ce qui allait se passer. Ils ont eu de la chance ou bonne intuition, tant mieux. Par contre, si l'on s'en tient au marché francophone, les perspectives ACTUELLES n'ont jamais été aussi claires. Intrinsèquement, la valeur des domaines et notamment des premium est sous-évaluée et nous le savons tous ici. Qu'est-ce qui est plus rentable, payer une page de pub dans "Le Monde" a €100k ou bien acheter un ndd qui offrira un flux infini de visiteurs ciblés. Et la page dans le monde, on l'aura pour le même prix, vu que les médias vont de plus en plus s'intéresser aux ventes de domaines. La certitude n'existe pas dans ce bas monde, mais on peut quand même parler d'investissement à risque limité et haut potentiel de rentabilité. Il n'y a pas plus pragmatique que les investisseurs et on va les voir débarquer très vite sur le marché. Le problème est que dans l'état, le marché est très technique et s'adresse aux professionnels. Il faudrait peut-être la création d'une sicav ou de structures familières aux investisseurs pour les voir débarquer. D'une manière ou d'une autre, les gros investissements sur le marché francophone sont imminents. Donc le meilleur conseil que je pourrai donner est : achetez massivement les noms de domaine francophones (.fr, .com, .net) sous-évalués.

Le second marché des noms de domaine est particulièrement inefficace, ce qui signifie que vous pouvez acheter des domaines à un endroit et les vendre rapidement à un autre endroit.
------ C'est la base des marchés en structuration. Il y a une quinzaine d'années, j'ai commencé dans la finance et on pouvait acheter des devises à francfort chez dabsi et les revendre à bruxelles chez Kate. Et gagner de l'argent en jouant simplement sur les "erreurs" de marché. C'est un peu plus dur avec les domaines, car il faut de l'expérience, mais c'est quand même un avantage clé du métier. On peut acheter les domaines expirés, comme beaucoup de forumnddeurs le font. Ou bien sur afternicbazaar ou tdnam (pénible à fouiller mais quasiment 0 concurrence sur les mots non-anglophones, j'ai déjà eu d'excellents domaines pour quelques dizaines de dollars)

3. Profiter des possibilités du "predictive domaining" -
--------- Très puissant ! Il y a des milliers de noms dont on peut être quasiment sûr qu'ils vont valoir un jour une fortune. Mais tout est question de timing, car acheter trop tôt n'est pas forcément une bonne idée.
J'avais demandé une interview pour domaine1.fr à Otto (le chauffeur de buzz) car c'est un gros domaineur et qu'il est toujours à l'affut des nouveautés avec son blog. Même si son blog ne vole pas très haut (Otto a beaucoup d'autres business), peu importe, il est en prise avec les tendances d'aujourd'hui et ça a une valeur inestimable. Ca serait sympa de savoir s'il enregistre régulièrement des noms en rapport avec toutes les innovations et nouveautés qu'il recense.

4. Trouver des propriétaires "en détresse"
------ il est pas beau, ce passage. Faire de l'argent sur la détresse des gens, ça me semble un mauvais conseil. Car plutôt que de faire un one-shot, autant tout avancer ensemble sur le long terme et établir des prix équitables. Les prix montent, on peut facilement trouver des compromis avantageux pour les deux parties.
De ce que j'en sais, mis à part quelques centaines de gros acteurs, les domaineurs us sont au bord du gouffre depuis un bon moment déjà et il n'y a rien de bon à attendre de leur marché. Sur le marché francophone, on peut aussi faire de bons achats sans avoir à voler qui que ce soit. Il suffit d'acheter les domaines non-stratégiques de la personne qui vend. On a tous des domaines pour lesquels on n'a pas d'intérêt particulier. Mais ces domaines peuvent en avoir pour quelqu'un d'autre, qui n'est pas autant avancé dans la constitution de son portefeuille.

maintenant, il y avait beaucoup plus de conseils pratiques sur mes sites, mais c'est pas à jour et tout change très vite. Le premier était :
Allez enregistré vos LLLL.com sur dyyo.com en choisissant bien les lettres. Les prix ne peuvent que monter. 1 an après, on peut voir que c'était pas un mauvais conseil :-)
 
Dernière édition:
Mais personne de ceux qui ont investi si tôt ne pouvait savoir ce qui allait se passer.

Pourquoi ça ?
Au contraire cette vision des choses était relativement claire, c'est pour cela que certains ont tout vendu pour avoir de la surface financière quand il était temps (genre F. Schilling) ou sacrifié tout leur temps pour faire le programme de grab qui va bien (Yun Ye). Si l'humain est prêt à prendre de tels risques, c'est bien que la vision est claire à l'instant T ;)
 
Pourquoi ça ?
Au contraire cette vision des choses était relativement claire, c'est pour cela que certains ont tout vendu pour avoir de la surface financière quand il était temps (genre F. Schilling) ou sacrifié tout leur temps pour faire le programme de grab qui va bien (Yun Ye). Si l'humain est prêt à prendre de tels risques, c'est bien que la vision est claire à l'instant T ;)

C'était des visionnaires. Mais ils ont acquis leur portefeuille après 2000, n'est-ce pas ? Et il y avait à ce moment un risque puisque le trafic ne pouvait pas être monétisé et que l'on n'avait aucune idée de ce que l'on allait faire des domaines acquis, si c'était de les mettre en vente (et de ne pas les vendre :-)).
C'était l'affaire de quelques téméraires. Aujourd'hui, le biz me semble mieux convenir aux milieux financiers.
 
Mais ils ont acquis leur portefeuille après 2000, n'est-ce pas ? Et il y avait à ce moment un risque puisque le trafic ne pouvait pas être monétisé et que l'on n'avait aucune idée de ce que l'on allait faire des domaines acquis, si c'était de les mettre en vente (et de ne pas les vendre :-)).
Pas tout à fait.
Yun Ye a démarré en 1998 par exemple mais il y a aussi les Scott Day, Rick Schwartz bien sûr, Garry Chernoff, Nat Cohen... ou pour les francophones Marcel Stenzel, JN Frydman etc.
Tous ceux là, et d'autres avaient, dès 1994-95 une parfaite idée de l'importance de leurs investissements et de la possibilité à terme de monétiser d'une manière ou d'une autre. Loin de vendre pour la plupart, ils se sont même renforcés au fil des ans. Ils savaient parfaitement "ce qui allait se passer" et... ça s'est passé.

Mes "2 cents".
++
 
Pas tout à fait.
Yun Ye a démarré en 1998 par exemple mais il y a aussi les Scott Day, Rick Schwartz bien sûr, Garry Chernoff, Nat Cohen... ou pour les francophones Marcel Stenzel, JN Frydman etc.
Tous ceux là, et d'autres avaient, dès 1994-95 une parfaite idée de l'importance de leurs investissements et de la possibilité à terme de monétiser d'une manière ou d'une autre. Loin de vendre pour la plupart, ils se sont même renforcés au fil des ans. Ils savaient parfaitement "ce qui allait se passer" et... ça s'est passé.

Mes "2 cents".
++


Muy interesante !

Pour les francophones, j'avais l'impression que JN Frydman disait qu'il n'avait pas vraiment conscience de la proportion que ça allait prendre, lorsqu'il a enregistré france.com et ses autres perles. Et ça n'a jamais été un domaineur très actif, comme peut l'être R. Schwartz. Je ne sais pas grand-chose sur Marcel Stenzel. Mais j'avais entendu dire que c'est un Monsieur d'un certain âge très fortuné qui a voulu marquer le coup en achetant des milliers de domaines en français, espagnol, italien, etc. Mais pas vraiment un "maniaque" des domaines comme on est quelques uns à l'être sur ce forum.

Je ne connais pas tous les domaineurs que tu cites, mais j'ai quand même pu me forger un jugement (peut-être totalement faux) en faisant l'état de la "littérature" sur le sujet. J'ai le sentiment que l'ancienne génération sera très vite dépassée. Pas par tous ceux qui disent "ah, si j'avais enregistré des domaines il y a 10 ans". Mais par ceux qui ont 20 ou 30 ans aujourd'hui et qui vont mettre le pied dans un secteur qui sera l'épine dorsale de la communication sur internet. Pizza.com ne me fait pas rêver. Les 300,000 noms de F. Shilling non plus. Le domaining est un secteur à part entière et les vrais gagnants seront amha les entrepreneurs qui vont apporter des innovations à cette industrie naissante. Il y a quelques personnes, que j'espère voir ici bientôt, qui sont à la fois des entrepreneurs et de vrais visionnaires, et qui m'impressionnent vraiment. Et d'autres qui ne sont que débutants aujourd'hui, mais qui ont déjà tout compris et qui appartiennent à une génération bien mieux armée pour comprendre l'internet. Je pense que ce seront les stars de demain.
Maintenant, on peut être domaineur expérimenté et accompagner le mouvement. Mais je continue à croire que ça sera plus facile pour les nouveaux entrants que pour les domaineurs historiques, pathétiquement accrochés à leur "magnifiques" domaines, qui valent rarement plus qu'un studio insalubre à La Courneuve. Le domaine est la matière première, mais la réelle valeur est dans la valeur ajoutée que l'on peut créer. Et on n'est qu'au début d'une grande aventure...
 
...perso je pense qu'avoir trop de nom est un "piege" ,on se disperse au lieu de creer (dispersion de $$$ +stress de "gardiennage"..) concernant la monetisation (plutot vente dans mon cas) je crois vraiment en la symbiose du bon NDD +un developpement meme petit afin d'attirer l'oeil (ou faire triper les equipes marketing :D ) ...surtout que maintenant il existe de super script en tout domaines a la fois propre et efficace... (recettes/jobds/etc..) un peu d'adaptation graphique/traduction et hop .. :)
 
Bonjour,

Personnellement en tant que débutant j'adhère assez bien aux conseils donnés, tout particulièrement pour ceux ci:
- Proposer des services aux domaineurs, et notamment parce que il y à plusieurs années le site Bisdoos etait en vente et j'ai failli l'acheter car à cette époque il n'y avait pas beaucoup de site qui proposait la revente de ndd, les années ont montré que le secteur était viable, et que cette activité avait de l'avenir, (des regrets)

Mais aussi qu'en matière de:
- services nous n'avons encore rien vu dans ce domaine, dans peu de temps ils existeront, regardez notamment la location de ndd même si cela parrait pas claire pour certain, cela se dévelopera, l'on donne bien en licence des marques, les noms devront suivre avec.

et les services en liaison avec les ndd ne s'arrêtent pas uniquement à l'activité de domaineur, regarder le site de comparaison ofindo en est l'exemple.


Donc des services pour les domaineurs j'y crois à fond.

- "Predective domaining" que je ne connaissais pas sous ce nom (je progresse:smile:) est aussi le point par excellence ou le domaineur doit se positionner, et c ce que j'essaye de faire.

Ensuite pour le reste je vois surtout l'expérience qui compte le plus à mes yeux, sans expérience le domaineur ne peut pas vendre, sauf cas exceptionnel qui ma porté.
 
Dernière édition:
J'ai une idée qui ira à contre-courant de ce que pensent les domaineurs. Oui, on peut encore faire de l'argent, mais non, on n'arrive pas sur le tard. Mon sentiment est que le meilleur moment pour investir dans les domaines n'était pas en 1995 ni en 2001, mais maintenant.

La différence majeur c'est que le coût de l'investissement est sensiblement plus élevé.
Peut-être moins risqué comme investissement mais il n'est pas à la portée de tout le monde ;)

il est pas beau, ce passage. Faire de l'argent sur la détresse des gens, ça me semble un mauvais conseil.

J'ai traduis distressed par "en détresse" ce n'était peut-être pas très habile (je suis loin d'être bilingue).
Enfin je suis d'accord avec toi, c'est aussi une question de mentalité comme ce qui se passe pour l'immobilier outre atlantique.
 
...perso je pense qu'avoir trop de nom est un "piege" ,on se disperse au lieu de creer (dispersion de $$$ +stress de "gardiennage"..) concernant la monetisation ...
Tu soulèves un point important: c'est celui du cash flow.

Beaucoup de domainers se lancent sans avoir une vision claire de leurs coûts.
Par exemple avec une mise de départ de $800 on peut enregistrer 100 domaines. Mais si les noms ne sont pas de bonne qualité, ils n'auront quasi pas de trafic, donc pas de revenu parking et ils ne vendront pas non plus. A moins d'être développés ils représenteront un poids mort dans votre portfolio. Car il ne faut pas oublier que chaque année ils devront être renouvelés (en plus verisign augmente ses coûts).

C'est pour cela qu'il faut diversifier: acquérir quelques noms avec du trafic, avoir quelques brandable, et un pourcentage de noms raisonnablement génériques qui se vendront facilement. Et aussi développer pour avoir une source de revenus auxiliaire.

Bref, il faut faire en sorte d'avoir un pourcentage de noms performants ou développés, qui puissent faire vivre ceux qui ne se rentabilisent pas d'eux-mêmes ;)
Sinon il en découle un déséquilibre financier structurel, et on finit par laisser expirer les noms, ou les vendre à perte.
Les newbies qui n'apprennent pas cela vont se décourager et passer à autre chose.

Dans mon cas le revenu du parking suffit à peu près à entretenir mon portfolio. Mais si le parking venait à disparaître soudainement, je devrais m'adapter. Mais je sais aussi que je peux développer mes noms s'ils ne rapportent plus, ou ne se vendent pas.
 
Dernière édition:
Les noms qui ne rapporte pas aujourd'hui rapporteront peut-être demain, avant de se lancer je pense qu'il faut investir comme on le ferait en bourse ou en epargne, avoir une trèsorerie adaptée au portefeuille que l'on souhaite sans dépasser le seuil de rentabilité.
 
...vi mais alors le probleme c'est que y'a un moment ou l'on a une phase Addict ou l'on enregistre a "coup de coeur" ... et l'on se retrouve avec une centaine de NDD ... :D ..le pire étant l'envie de proteger un nom (genial forcement)avec un max de tld (.net/.fr/.com/.mobi/.eu ...) j'en ai 1 comme ça (projet web a moitié fait) ,il me bouffe 15 renew a chaque fois...c'est pas le seul ... :D

..a ce niveau je suis assez amateur...
 
C'est pas un peu excessif de sécuriser le .mobi, .eu etc ? L'indispensable étant .com et .fr.
 
...si effectivement pour le mobi et le .eu je crois bien ...maintenant... à l'époque
je pensais differemment...
 
Dans ce milieu a mon avis rien est excessif. C'est juste une question de gout, d'envie et surtout ... d'argent ;)
 
Bonjour,

Je rejoins Kate (Hi!) à ce sujet.
Le cash-flow. Beaucoup se brulent les doigts en enregistrant ce qu'ils pensent valoir une fortune. Il faut bien (se) tenir. Ce n'est pas de l'argent facile , loin de là. C'est une veritable ENTREPRISE.

Snapnames est là pour prouver l'existence de faillites certaines dans ce business.
Celui/celle qui enregistre des noms depuis des annees connait les factures accumulées.....et le fisc d'aun autre cote qui vous oblige a reinvestir vos petits benefices....en enregistrant de nouveaux noms.

Il suffirait de payer les enregistrements en cash pour comprendre les enjeux.

Bonne Journée
 
Et le meilleur moyen pour commencer et surement d'avoir une activité annexe de developpement ou autre pour permettre de survivre dans ce monde hostile avant de pouvoir comme certains professionnels ici, vivre du domaining ... je me trompe ?
 
Vivre du domaining:

Oui on peut en vivre à Bali ou Mahé tout seul.
On peut en vivre APRES avoir vendu musique.com ou pizza.com

Je te rassure: j'ai un boulo kitch, et 3 bouches à nourrir mais l'espoir de pouvoir en vivre un jour......me fait mieux vivre

Dabsi