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Volonté de Google de nettoyer le web des petits éditeurs de sites ?

domaine1

New member
14 Mars 2008
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Bonjour,
en regardant mes résultats adsense de janvier, qui seront les plus bas depuis que je suis petit, je me demandais s'il n'y avait pas une volonté délibérée de G. de mettre en difficulté les petits éditeurs de sites ?
De ce que j'ai observé, Penguin aussi avait fortement privilégié les marques et les gros sites, au détriment des EMD et autres ndd optimisés, en général déposés par de petits éditeurs.
Ainsi, en se débarrassant d'une partie des petits éditeurs, G. se débarrasse de contenus de qualité le plus souvent moyenne mais qui étaient bien positionnés par rapport aux sites pros, vu que les éditeurs maîtrisent bcp mieux le réf que les pros et que leurs agences (à la noix).

Et comme son objectif premier est la qualité des contenus, le fait de ses passer des éditeurs qui vivent des revenus de la pub est volontaire, vous ne croyez point ?
Sans compter que Google est devenu un moteur de publicité davantage qu'un moteur de recherche. 1er dans google ne veut plus rien dire, le seul moyen d'être 1er, 2e, 3e etc., c'est d'acheter du adwords, les résultats naturels sont de plus en plus cachés.
 
Dernière édition:
100% d'accord... mais il faut positiver...

Regarde sur certaines recherches le nombre impressionnant de pages totalement inutiles. Les recherches un peu pointues sont noyées dans une masse de daube et de soupe infâme, hors pub bien-sûr...

Le fait que Google vive de cette daube ne le pousse pas à trouver les solutions au moteur de demain.

Ce qui veut dire que, la nature ayant horreur du vide, tôt ou tard émergera un nouveau modèle, pas forcément bon pour un éditeur de mauvaise qualité, mais assez nouveau pour faire émerger de nouveaux modèles économiques.

Le problème du domaineur actuel, surtout dans notre niche de langue française, est de se contenter de compter les points quand il ne se lamente pas, alors que la réflexion pourrait aider, sinon à trouver des solutions, mais au moins à apprendre à lire l'horizon...
 
Merci Michel de ton retour,
et je suis tout à fait d'accord avec ton analyse.
En fait, pour les solutions, j'ai aussi quelques idées. Mais je ne suis pas du tout sûr de mon diagnostic et comme sur le fofo il y a des tas de personnes très compétentes, je préfère m'inspirer de leurs commentaires plutôt que de trop faire confiance à mes propres avis. Le web change à une vitesse grand V et ça me semble très difficile de bien appréhender les changements si l'on travaille de manière isolée.
Dans mon cas, le fait que les petits sites n'aient pas d'avenir ne me pose pas plus de souci que ça. C'était confortable d'avoir des revenus faciles sans rien faire, mais ça fait des années que je cherche à m'orienter vers un autre modèle. Je ne m'attendais pas à ce que Google nous lâche comme ça, mais je pensais que ça n'allait pas durer à cause de la concurrence. Tous les jours il y a de nouveaux entrants sur le web, souvent de 20 ans ou moins et de plus en plus capables, alors qu'il y a très peu de sortants car même les anciens ne sont pas en général pas assez vieux pour partir en retraite. Du coup, ça me semblait à moyen terme très compliqué d'avoir à partager un gâteau qui ne grandit pas si vite (en fait, on dirait même qu'il diminue même à cause de la politique de Google) entre un nombre de personnes sans cesse grandissant.

La solution que j'ai choisie est de m'orienter vers un terrain où il n'y a pas de concurrence, celui des "gros" sites. Se lancer dans les rencontres, les voyages, le poker, etc. me paraissait impossible, vu qu'il y a déjà des mastodontes bien en place. Par contre, dans le secteur des énergies, les endusers sont énormes et avec beaucoup de moyens, mais ne comprennent absolument rien au web. Mon idée était de développer un site leader dans ce secteur et ensuite de le revendre à GDF-Suez, Areva, Poweo Direct Energie, etc. car ces grands groupes ont déjà des produits, des équipes et des structures qui leur permettent de rentabiliser très rapidement un tel achat. Mon souci est que pour développer un tel business, il faut investir pas mal de sous et d'énergie et que l'on ne gagne rien tant que l'on n'a pas vendu. Et là, les revenus récurrents des petits sites bidons m'ont servi pendant des années, mais maintenant, je n'arrive déjà pas à financer mon niveau de vie avec les revenus du web et si en plus il faut que j'investisse dans un gros projet, ça devient impossible. Et faire appel à un business angel ou autre, c'est beaucoup trop contraignant car il faut en permanence rendre des comptes.

Quand à un modèle purement ndd, je crois qu'avec de l'expérience on peut arriver à se générer un salaire plus ou moins décent. Même si le marché est mou, on a quand même une spécialisation à haute valeur ajoutée. Les ndd de qualité continuent à se vendre de plus en plus cher et ça n'est pas les nouvelles extensions qui devraient changer ça à court terme. Par contre, les espérances de gain restent limitées alors qu'avec la vente d'un gros site, on peut espérer atteindre les 7 chiffres. Donc je préfère tenter une grosse somme hypothétique plutôt qu'assurer des revenus convenables mais forcément limités.
 
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Salut David,

La these que du cite est exactement un recapitulatif de la situation Web actuelle.
Je suis entierement d'accord avec tous tes propos, car pour ma part plus je développe des sites et plus je suis loin derriere le classement google et surtout les revenues adsenses se font tres limites.
Comme toi j'ai tenté les Business angel, mais a vrai dire c'est plus une contrainte qu'autre chose car il faut avoir depenser des sommes impressionnante avant de proposer un projet pour sécurisé l'idée et surtout il y a la crainte de se faire piquer l'idée/projet.
Etre 1er sur google est juste une questions de fond car qui peu financer sa campagne adword sera 1er,en faite c'est a celui qui investissera le plus que ce podium lui sera offert.
La diversité peut etre avantageuse mais aussi contraignante car on ne sait plus sur quoi investir, mais l'avantage et de posseder un portfolio diversifié.Est-ce une preuve de compétences ou de crédibilité que d'avoir un portfolio avec plusieurs catégories? A ce jour je suis un peu titubant sur le sujet.
Pour conclure, a ce jour,je suis plus d'avis a tous miser sur 100 chevaux que dans 1000 poneys.
 
salut chico,
et merci pour ton analyse
Pour conclure, a ce jour,je suis plus d'avis a tous miser sur 100 chevaux que dans 1000 poneys.
c'est qqchose que disaient certains "piliers" du fofo et pour lequel je n'étais pas d'accord pendant longtemps. Je me disais qu'il suffisait d'avoir le bon ndd dans une niche donnée, que ça n'était pas nécessaire d'avoir des ndd de prestige.
J'aurais préféré il y a quelques années posséder 6 ou 7 ndd comme tourcoing.com, roubaix.com, villeneuvedasq.com, seclin.com, fives.com et hellemes.com, plutôt que lille.com
Je me disais que la valeur du ndd dépendait de l'intérêt qu'en a un acheteur et que pour l'agence immobilière de Tourcoing, tourcoing.com est le ndd à avoir. Et qu'au final, on avait plus de chances de faire de belles ventes avec 7 ndd de niche qu'avec un premium.

Mais là maintenant je pense comme toi. Accumuler des ndd dont les destinataires naturels ne sont assez nombreux est trop risqué car il faut vraiment un tas d'acheteurs potentiels pour qu'un d'entre eux se manifeste. Sans compter que si on veut développer, il faut se limiter en quantité.
 
Dernière édition:
Je te remercie David d'avoir lancé cette discussion intéressante.

Personnellement, je ne pense pas que Google fasse de distinction sur la taille, même ci ce critère ne peut être sans importance. Le problème de base du modèle petit site de contenu avec référencement non naturel et que son auteur met son énergie dans quelque chose qui n'a presque aucune valeur ajoutée. Faire un contenu de niveau non expert ne donne une valeur ajoutée que si le contenu est très exhaustif. Donc 10 ou 20 pages sur une niche, c'est forcément trop peu et sans valeur ajoutée. Par ailleurs, l'énergie dépensée à faire du backlink plus ou moins "à la c..." est une course en pure perte, car l'armée de petites mains qui font cela ne font que repousser plus avant la barrière de déclenchement de rentabilité. Un site de contenu simple et exhaustif (quelques 100 de pages), mise à jour et en croissance continue, va attirer des backlinks naturels, et un peu d'échange d'articles de qualité et quelques échanges avec le marigot de la niche permet de gagner un traffic de longue traîne bien plus intéressant que la tonne de traffic mal qualifié que tu gagnes sur une grosse requête, que tu auras peut être la chance de garder quelque temps avant que sa tourne inévitablement.

Ainsi, je pense que Google agit seulement avec retard pour réduire la présence de sites avec du contenu médiocre et du référencement creux. Je crois qu'ils arrivent de mieux en mieux à faire en sorte que les éditeurs qui font de la valeur ajoutée soient favorisés (je précise que je ne suis pas un suppôt naïf de Google, et que j'ai pris un bon nombre de coulages).

Pour revenir au travail de l'éditeur, je pense que son problème est qu'il y a un certain coût initial pour amorcer un site "à la main" avant de voir s'il peut y trouver un rentabilité. C'est pourquoi toute technique permettant de tester un niche, en général à base de contenu automatisé est un accélérateur très utile. Un autre point est la capacité à produire du contenu unique de niveau non expert ne manière efficace est la moins onéreuse possible. Cela suppose de pouvoir déterminer à l'avance les sujets qui sont les plus porteurs dans ta niche (ton site automatisé peut te le dire) puis d'avoir un logiciel pour gérer la documentation de tes articles, pour les produire de manière plus rapide et plus sécurisée, ainsi que de pouvoir suivre les nouveaux points à ajouter dans tes articles.

En conclusion, je pense que le secteur de la production de contenu va s'industrialiser fortement, du moins c'est dans ce sens que je vais. Attention, je ne parle pas de contenu automatique et autres saloperies du genre "Article Wizard Pro", mais de transformer le métier de journaliste, afin qu'à terme il ne ressemble plus à son image d'Epinal (le journaliste ébouriffé qui passe ses journées à lire des journaux, navigoter sur le Web, appeler ses contacts, aller se balader pour produire son petit jus hebdomadaire) mais devienne un véritable ouvrier de chaîne de production. Tu peux imaginer un beau plateau du genre call center avec des ouvriers curateur de documentation et des ouvriers rédacteurs du contenu final, le tout piloté par un manager de plateau (l'ancien rédac chef).

J'en ai déjà les yeux embués d'émotion.

PS: dans ton cas, pourquoi n'essayes-tu pas de faire un réseau en t'inspirant de l'exemple de Comprendre Choisir?
 
Dernière édition:
super Mo, merci
je me souviens que quand tu nous avais expliqué ta vision il y a quelques années, ça semblait très logique et finalement ton modèle s'annonce pérenne. Pour l'évolution que tu prévois, c'est très intéressant.

Je connais un peu le modèle comprendrechoisir machin et quand je vois à quels points ils sont médiocres, ça me rassure un peu sur les chances de pouvoir prendre des positions.
Ce qui m'a marqué dans le web depuis le début est le niveau de valorisation atteint par des sociétés toutes jeunes qui n'ont pas fait le moindre euro de bénéfice. Pour l'instant, j'ai réussi la moitié de ces prouesses, ne pas faire le moindre euro de bénéfice. Pour l'autre moitié (la valorisation astronomique), j'ai l'impression que ça sera un peu plus dur.
 
Sans compter que Google est devenu un moteur de publicité davantage qu'un moteur de recherche.

Bon résumé lol :girl_wacko:

Beaucoup de points pertinents cités, pour ma part je retiens ceux-ci:
  • toujours plus de concurrence, et le gâteau grossit moins vite que le nombre de convives (comme le parking en fait)
  • éviter de se disperser dans trop de sites, on ne peut pas seul développer et surtout entretenir 100 sites de qualité/faisant autorité

Et plus personnel:
  • vendre des produits/services que l'on ne trouve pas facilement ailleurs ou développer un concept difficile à cloner, bref trouver sa niche
 
[*]toujours plus de concurrence, et le gâteau grossit moins vite que le nombre de convives (comme le parking en fait)
[*]éviter de se disperser dans trop de sites, on ne peut pas seul développer et surtout entretenir 100 sites de qualité/faisant autorité
[/LIST]

Et plus personnel:
  • vendre des produits/services que l'on ne trouve pas facilement ailleurs ou développer un concept difficile à cloner, bref trouver sa niche

Exactement Kate, il est impossible (ou alors être tres doué) pour entretenir 100 sites de qualité. Ce qu'il faut faire c'est se rendre a l'evidence de l'évolution du web. Il est beaucoup facile de créer et un site web, qu'a l'époque et cet accés donner a beaucoup plus de personnes augmente le nombre de développeurs, qui deviendront pour certains des domaineurs en grossisant leur portfolio car le prix des ndd (registrar) est accescible a tout le monde; dans un sens c'est tres bien car le web évolue mais jusqu'a quel point evoluerat il? c'est au fond cette question qu'il faut se poser, c'est qu'est-ce qui se fera demain? et qu'est-ce qu'il manque sur le web? et je reviens a la citation Kate qui dit "Trouver sa niche". Pour ma part, je me suis essayé a faire dans les sites de rencontres, X et autres dans ce même genre...Je crois que je n'ai jamais perdu autant de temps qu'a essayer de faire des choses convenables pour rien. Entre le top 10 des meilleurs sites, coller des video d'affiliations...pour rien ca ne m'a rien rapporter.C'est un secteur que je n'exploite plus alors je me separe des ndd, car cette energie perdu dans ce secteur, je ne l'a met pas dans des secteur different ou je me debrouille un peu mieux.Certes, c'est toujours embetant de se separer d'un ndd que l'on a depuis des années, mais si il ne rapporte rien, faut couper le cordon.
La definition d'un ndd dit "Premium" est vraiment aléatoire a ce jour,car avec un ndd genre "Tralalala.com" on peut en faire un premium,avec un contenu accrocheur, apres il y a les generic premium, mais la ce sont des ndd enregistré depuis l'invention de l'ecriture, a quoi bon même de jouer la typo sur des premium pour recuperer des miettes, mais je respecte les personnes qui joue cette cartes, chacun voit midi a sa portes
J'ajoute (comme cité plus haut) effectivement le forum possede des membres riches de competences pour avoir vu certains sites lancer par certains membres du forum, je trouve le travail tres remarquable et appreciable dans l'echange
En tous cas merci David d'avoir ouvert ce sujet, car je le trouve important et surtout tres tres interessant
 
... mais jusqu'a quel point evoluerat il? c'est au fond cette question qu'il faut se poser, c'est qu'est-ce qui se fera demain? et qu'est-ce qu'il manque sur le web?
Difficile d'avoir une réflexion à deux niveaux,

-soit on s'occupe du court terme :
"que faut-il faire demain pour payer les registrars et pour manger ?

-soit on a un projet à long terme et dans ce cas la question est
"par quoi sera remplacé Google?"

Le problème est que la plupart des domaineurs sont des "lonesome cowboys" qui avancent chacun dans leur coin bien écartés de la masse du web.

Le domaining entre par la petite porte dans les webagencies, les avocats, les services juridiques et le marketing mais les domaineurs en sont exclus, aucun n'ayant su ou pu sérieusement émerger dans le web en langue française
 
Coucou

Discussion interessante.
Comme tu dit domaine1, c'est plus dur, mais je trouve aussi que c'est de moins en moins visible/previsible.... enfin, avant, j'avais une petit idée d'ou j'allait atterir dans le serp.
Mais maintenant, plus du tout.
J'ai de bonne surprise comme de totals imcomprehensions...
J'ai parfois envie de dire faut jouer la carte quantité pour diversifier, mais c'est souvent au depend de la qualité... donc perso, j'ai pris un mesure radical, ne plus dependre de Google. Donc en gros, maintenant, je ne fait presque plus que des sites en chinois et je vise Baidu. :chinese:
Pareil pour le domaining. J'investi plus que dans du Chinois ou Indien. La barrière de la langue est pas si dure...
 
Difficile d'avoir une réflexion à deux niveaux,

-soit on s'occupe du court terme :
"que faut-il faire demain pour payer les registrars et pour manger ?

-soit on a un projet à long terme et dans ce cas la question est
"par quoi sera remplacé Google?"

Le problème est que la plupart des domaineurs sont des "lonesome cowboys" qui avancent chacun dans leur coin bien écartés de la masse du web.

Le domaining entre par la petite porte dans les webagencies, les avocats, les services juridiques et le marketing mais les domaineurs en sont exclus, aucun n'ayant su ou pu sérieusement émerger dans le web en langue française

C'est un peu extra-poler, mais c'est bien ,on peut s'apercevoir qu'il y a un fossé dominant.
A ce jour, il faut travailler d'arrache pied pour payer ses registrars et manger. Je ne peux pas me permettre de négligé certaines baisse dans le classement des moteurs de recherche et de renouveller certains contenus. C'est ce qui fait que je modere "un peu" plusieurs sites,faute de temps! et on se retrouve vite noyé dans la masse malgré tout.

Apres Google?
C'est une excellente question.
Même si Bing,Yahoo et d'autres essaie de s'y coller ce n'est que de l'additionnel.
Le moteur de recherche est le projet de Google et l'additionel est google traduction, Google+,...
Enfin, il fut un temps ou l'on croyait que Ebay serait le seul site de vente qu'il puisse exister,et on a vu fleurir des sites comme LeBonCoin (modele importer) qui a force de picorer des clients, a fait sa clientele et a creer son modele de ventes.Qui dit que demain un site mieux que le bon coin puisse se faire, ce n'est que quand on le verra que l'on se dira que c'etait possible et bien evidement il sera trop tard pour cette fournée.
Comme Facebook, tous le monde croyait que Facebook serait l'ultime, le meilleur des reseaux sociaux et derriere twitter picore (beaucoup même a ce jour) des clients avec son modeles de reseau social.
Pour preuve a la télévision on peu voir que toutes les émissions disent " donnez votre avis sur Twitter avec un # " et l'on entend moins facebook.Le modele est donc bien ancré dans un language médiatique.
J'ai vu dernierement un site "01animaux.com" c'est un réseau social pour animaux, perso je trouve l'idée vraiment original et pas mal dans le contexte, car les affiliations peuvent etre tres interessantes €

Ce que je veux dire est que derriere style de site web, il existe une porte ouverte à l'amélioration

Pour résumer, je suis d'avis de dire que le meilleur existe, mais est ephemere. Le meilleur reste toujours à ameliorer car la perfection existe sur un cours termes.Si personne ne detrone google c'est que tous simplement google s'ameliore avec sa multitude de services complementaires et commerciales ce qui nuit aux "Lonesome Cowboys"
Sur le web ca va tres vite, un jour peut etre qu'une grosse firm se tentera et l'on pourra voir un nouveau moteur de recherche plus rapide, ou plus complet.
Mais pour detroner le numero 1, en etant 24,582,214...Ca risque d'ete dur,seul ceux sur le podium ont plus de chance et les moyens pour se tenter.
 
... donc perso, j'ai pris un mesure radical, ne plus dependre de Google. Donc en gros, maintenant, je ne fait presque plus que des sites en chinois et je vise Baidu. :chinese:
Pareil pour le domaining. J'investi plus que dans du Chinois ou Indien. La barrière de la langue est pas si dure...
Moi, je développe mes projets sans me soucier de google, s'il y a du seo qui se fait de lui-même (et il y en aura), je considère ça comme un bonus. Un bon site recevra spontanément des backlinks et du trafic par le bouche à oreille aussi. (Un truc qui a bien marché pour moi ce sont les articles dans les journaux).
Comme nous sommes domainers nous savons que penser SEO uniquement est une vision myope d'Internet, il y a d'autres canaux sur lesquels il faut agir pour être visible.

Pour résumer, je suis d'avis de dire que le meilleur existe, mais est ephemere. Le meilleur reste toujours à ameliorer car la perfection existe sur un cours termes.Si personne ne detrone google c'est que tous simplement google s'ameliore avec sa multitude de services complementaires et commerciales ce qui nuit aux "Lonesome Cowboys"
Pas facile de détrôner ce genre de boîte étant donné sa masse critique, son mindshare etc.
Mais je pense qu'il y a toujours des positions à prendre.
Ca nous ramène aux niches.

Par exemple, je travaille sur un search engine focalisé sur une communauté linguistique. Si le concept marche, je compte le répliquer dans d'autres marchés.
Je sais que je peux faire 'mieux' que google dans ce créneau, parce que j'ai accès à des données brutes que google n'a pas, et j'ai une compréhension plus fine du marché locale qu'une multinationale US.

Un autre exemple, ce serait le marché des rencontres qui est maintenant hyper-concentré. Aujourd'hui plus aucun webmaster n'a l'ambition de créer le nouveau Meetic, soit on fait de l'affiliate pour une marque connue voire LA marque, ou bien on peut développer pour viser une niche particulière avec des profils bien ciblés.
 
Gestion de portefeuille de nom de domaine - développement de trafic monétisable

Merci pour ce sujet, très intéressant à suivre/ lire.
Mon best-of, avec 2/3 réflexions rapides et très personnelles sur quelques-unes des pistes évoquées. Note pour le débutant : pistes qui s'adressent à deux types de "forumndders" (éditeur+"propriétaire"-trader de ndd ; "propriétaire"-trader de ndd seul) et donc à adapter pour chaque profil :)

Le problème est que la plupart des domaineurs sont des "lonesome cowboys" qui avancent chacun dans leur coin bien écartés de la masse du web.

Le domaining entre par la petite porte dans les webagencies, les avocats, les services juridiques et le marketing mais les domaineurs en sont exclus, aucun n'ayant su ou pu sérieusement émerger dans le web en langue française

Oui et non sur le lonesome cowboys, parmi ceux que je qualifierai de possesseurs de noms génériques commercialement intéressants, beaucoup s'intéressent activement aux autres sujets liés à la distribution/ monétisation du contenu, au droit et au branding. Certains aussi, que je qualifierai "de domainers élargis" ont fait leur petit bonhomme de chemin sur la scène web FR ; pas de noms à fournir, mais il y en a quelques-uns, parfois même inscrits ici (mais peu actifs malheureusement, time is money). Idem pour le "su ou pu", car le "voulu" est à mon sens omis dans l'analyse. C'est un univers en effet très particulier, pour x raisons.

la réflexion pourrait aider, sinon à trouver des solutions, mais au moins à apprendre à lire l'horizon

Ca ressemble à la pierrephilosophale.com, mais pas mieux sur le fond :)

Par contre, dans le secteur des énergies (NDLA : renouvelables je suppose), les endusers sont énormes et avec beaucoup de moyens

Oui, quelques endusers sympas en amont (production d'énergie "propre") avec des moyens (et des subventions) mais aussi comme tu le dis des prospects comme beaucoup d'autres en France méconnaissant les enjeux/techniques d'acquisition de trafic web ou encore n'en ayant pas vraiment besoin (peu de gros offreurs sur ce segment en France). En aval, des assembleurs/ installateurs/ importateurs de matériel, tels les modules photopholtaïques (plus nombreux, mais davantage à "petits" moyens). Et un contexte de récession qui fait que le développement des énergies renouvelables paraît moins prioritaire que prévu initialement.

Pour conclure, a ce jour,je suis plus d'avis a tous miser sur 100 chevaux que dans 1000 poneys

Voire 10 chevaux, et en laisser quelques-uns d'entre eux en réserve ;)

ne plus dependre de Google

Une des clés, mais pas facile à identifier à court terme ?

Personnellement, je ne pense pas que Google fasse de distinction sur la taille, même ci ce critère ne peut être sans importance. Le problème de base du modèle petit site de contenu avec référencement non naturel et que son auteur met son énergie dans quelque chose qui n'a presque aucune valeur ajoutée. Faire un contenu de niveau non expert ne donne une valeur ajoutée que si le contenu est très exhaustif. Donc 10 ou 20 pages sur une niche, c'est forcément trop peu et sans valeur ajoutée. Par ailleurs, l'énergie dépensée à faire du backlink plus ou moins "à la c..." est une course en pure perte, car l'armée de petites mains qui font cela ne font que repousser plus avant la barrière de déclenchement de rentabilité.

Ainsi, je pense que Google agit seulement avec retard pour réduire la présence de sites avec du contenu médiocre et du référencement creux. Je crois qu'ils arrivent de mieux en mieux à faire en sorte que les éditeurs qui font de la valeur ajoutée soient favorisés (je précise que je ne suis pas un suppôt naïf de Google, et que j'ai pris un bon nombre de coulages).

Pour revenir au travail de l'éditeur, je pense que son problème est qu'il y a un certain coût initial pour amorcer un site "à la main" avant de voir s'il peut y trouver un rentabilité. C'est pourquoi toute technique permettant de tester un niche, en général à base de contenu automatisé est un accélérateur très utile. Un autre point est la capacité à produire du contenu unique de niveau non expert ne manière efficace est la moins onéreuse possible. Cela suppose de pouvoir déterminer à l'avance les sujets qui sont les plus porteurs dans ta niche (ton site automatisé peut te le dire) puis d'avoir un logiciel pour gérer la documentation de tes articles, pour les produire de manière plus rapide et plus sécurisée, ainsi que de pouvoir suivre les nouveaux points à ajouter dans tes articles.

En conclusion, je pense que le secteur de la production de contenu va s'industrialiser fortement, du moins c'est dans ce sens que je vais. Attention, je ne parle pas de contenu automatique et autres saloperies du genre "Article Wizard Pro", mais de transformer le métier de journaliste, afin qu'à terme il ne ressemble plus à son image d'Epinal (le journaliste ébouriffé qui passe ses journées à lire des journaux, navigoter sur le Web, appeler ses contacts, aller se balader pour produire son petit jus hebdomadaire) mais devienne un véritable ouvrier de chaîne de production. Tu peux imaginer un beau plateau du genre call center avec des ouvriers curateur de documentation et des ouvriers rédacteurs du contenu final, le tout piloté par un manager de plateau (l'ancien rédac chef).

Rien à redire, en ajoutant juste le fait qu'il faut peut-être aller "au-delà de l'écrit" dans la chaîne de production (dans la mesure où les moyens/ espérance de gains le permettent).

Comme nous sommes domainers nous savons que penser SEO uniquement est une vision myope d'Internet, il y a d'autres canaux sur lesquels il faut agir pour être visible

toujours plus de concurrence, et le gâteau grossit moins vite que le nombre de convives (comme le parking en fait)

vendre des produits/services que l'on ne trouve pas facilement ailleurs ou développer un concept difficile à cloner, bref trouver sa niche

Pas mieux

Accumuler des ndd dont les destinataires naturels ne sont pas assez nombreux est trop risqué

idem