
Cérémonie de signature du nouveau contrat de registrar ICANN, à Sydney en juin dernier. INDOM (4e en partant de la droite) est la seule société française invitée par l'ICANN à signer ce nouveau contrat, gage d'une qualité de service accrue, en avant première.
[FONT=verdana,arial,helvetica,sans-serif]Gage de protection accrue pour les utilisateurs de noms de domaine, c'est à dire nous tous, ce contrat ICANN version 2009 a été inauguré lors de la réunion de Sydney, fin juin.
La première mouture du contrat de registrar ICANN a déjà dix ans et remonte donc aux débuts même de l'organisme (créé en 1998). A l'époque, les registrars se comptaient sur les doigts d'une main. Depuis, le contexte économique a énormément évolué, tout comme le nombre de registrars existants (environ 900 registrars ICANN aujourd'hui), les habitudes des consommateurs de noms de domaine et les risques auxquels ils peuvent être confrontés.
Cette nouvelle version du contrat ICANN – la première depuis 2001 – a été conçue dans le but de renforcer la protection des consommateurs, sur des aspects comme la sécurité de leurs données personnelles ou la transparence de leurs relations commerciales avec leurs registrars. Il a fallu plusieurs années de négociation entre les différents acteurs du GNSO – la structure de l'ICANN en charge des extensions génériques – pour parvenir à un accord. Ce dernier a été voté par le Conseil du GNSO en mars dernier, lors de la réunion ICANN du Mexique, et avalisé par le Conseil d'administration de l'ICANN ensuite.
Seuls les plus importants registrars – dont INDOM, le seul français – ont été invités par l'ICANN à signer ce nouveau contrat dès à présent. Ce contrat impose en effet aux registrars signataires une maîtrise sans faille dans leur métier et un niveau de qualité au-delà de tout soupçon. "Ensemble, les signataires gèrent environ 50% des 110 millions de noms de domaine génériques actuellement déposés dans le monde," indique l'ICANN dans son communiqué officiel.[/FONT]
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