A l'époque où Joël travaillait encore dans mon équipe, il voulait faire un article sur les similarités entre le second marché des noms de domaine et le marché de l'art pour constituer une trilogie avec
ceci et
cela.
En bourse comme en immo, les pdts sont similaires et ont des valeurs assez précises, avec les 'argus' et autres 'cours'. On n'a pas vraiment ça ds les ndd.
C'est certain, le marché manque encore de référentiels solides. Mais deux choses me font penser que cela va changer :
- c'est un marché jeune. Une marché-poupon, même, à l'échelle de l'Internet et par comparaison avec le marché de l'immobilier qui même lui n'est pas si vieux à l'échelle de l'humanité :wheelchair:
- regarde ce qui se fait du côté de chez Hitfarm et de leur
Reinvent Index
Dans 20 ans et au delà, tout laisse à penser que les noms de domaine seront encore là. C'est comme les numéros de téléphone, les fréquences radios ou les disques vinyls : on dit toujours qu'il y aura mieux ou plus simple; parfois, il y a même mieux ou plus simple (le CD VS. le vinyl); et pourtant, le système perdure. Tu t'imagines manger dans d'autre chose que des assiettes ? Non, et pourtant tu pourrais tout aussi bien manger à même la table, quitte à la modeler en conséquence s'il y a de la soupe au menu
Mais dans l'état actuel du second marché, il va falloir que les échanges gagnent à la fois en transparence et en fluidité pour que tout le monde s'y retrouve et qu'il ne soit pas plus difficile d'aller s'acheter un nom de domaine que de choisir l'appartement ou le produit boursier le mieux adapté à ses besoins.
We're going there 